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Économie

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Photo: Sayyid Azim Associated PressLe directeur général de l’Organisation mondiale du commerce, Roberto Azevêdo (à droite), en compagnie de la présidente du Libéria et du président du Kenya

Quatorze ans après leur début, les négociations restent infructueuses, en dépit des quelques accords conclus à Nairobi, la semaine dernière

Le temps est venu de tirer un trait sur le cycle de Doha et de passer à autre chose à l’Organisation mondiale du commerce (OMC), ont conclu ce week-end des pays riches, contrairement aux pays en développement qui voudraient garder vivantes ces négociations censées leur faire une place dans l’ordre commercial international, mais qui piétinent depuis 14 ans.

La 10e conférence ministérielle de l’OMC, la première à se tenir en Afrique, s’est conclue samedi, à Nairobi, au Kenya, par une série d’avancées en matière notamment d’agriculture et de technologies de l’information, mais aussi sur une grosse impasse. Alors que la plupart de ses 162 pays membres se sont redits, dans la déclaration finale,« pleinement déterminés » à aller jusqu’au bout du cycle de négociations lancé à Doha, au Qatar, à l’automne 2001, un groupe de pays riches constitués entre autres des États-Unis, de l’Union européenne et du Canada, estime désormais que « de nouvelles approches sont nécessaires pour obtenir des résultats significatifs dans les négociations multilatérales ».

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