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Opinions

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Appuyons sur l’accélérateur !

À l'image du 14 octobre 2019, le vaillant peuple de Guinée a su répondre avec détermination à l'appel de notre dernier rempart, le FNDC. Bilan: trois morts, des blessés, des prisonniers, des exilés d'une zone à une autre et que sais-je encore.

Nous y sommes habitués que cela soit suite à un appel politique ou syndical comme ce fut récemment le cas suite à l'appel à la grève du SLECG en date du jeudi 9 janvier 2020 où deux jeunes guinéens ont été froidement assassinés. Des morts, des prisonniers toujours. Que toutes les victimes du régime sauvage de Condé se reposent en paix au paradis céleste et nous disons : JUSTICE.

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Fodé Baldé, responsable de la Communication digitale de l'UFR

La confusion semble être totale dans la tête de certains guinéens qui continuent de croire que la décision concertée et commune de l’opposition politique guinéenne consistant à ne pas participer aux législatives du 16 février 2020 est un boycott à l’image de l’opposition béninoise. Cette confusion doit cesser pour laisser place à cette vérité de l’opposition politique guinéenne qui décide de ne pas participer mais et surtout d’empêcher par tous les moyens légaux les législatives du 16 février 2020.

En effet, boycotter une élection suppose qu’elle se tiendra et que l’on n’y participera pas. Ici, ce n’est pas le cas comme il en a été au

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Je voudrai remercier le Député Amadou Damaro CAMARA pour son courage et son témoignage dans son livre « coup d’état manqué du Colonel Diarra Traoré – Guinée le 4 juillet 1985 ». Je trouve que c’est un cadeau fait aux jeunes générations et aux Guinéens en général désireux de connaitre leur histoire. La lecture de ce livre réveille en moi certains souvenirs enfouis de mon enfance à Fria de cette période sombre et violente de notre histoire. C’est un pan de notre passé qui continue de diviser les Guinéens. 

En juillet 1985, à cette époque où les Malinkés étaient persécutés et leurs biens détruits et/ou pillés à la suite du fameux coup d’état manqué du Colonel Diarra Traoré, notre habitation familiale à Fria à la Cité des Ingénieurs subissait le même sort. Des travailleurs de l’hôpital FRIGUIA Kimbo (jadis hôpital Pechiney), dont le business de vol et de vente de médicaments avait été entravé par mon père alors médecin chef de l’hôpital, profitèrent de cette situation pour envoyer une foule surexcitée, attaquer notre maison et la vider de son contenu. Mêmes les portes et fenêtres ne furent pas épargnées. J’avais 7 ans à l’époque. Je ne mesurais pas vraiment la portée de ces évènements sur le pays. Nous nous réfugiâmes à la résidence du préfet d’alors, feu Adjibou Thiam. Je précise que mon père est Soussou et c’était des Soussous qui étaient à la base de cette attaque. Nous étions une victime collatérale du fameux « wo fatara » (vous avez bien fait) du Président Conté. Je comprends donc ce que ces Guinéens à cause de leur appartenance ethnique ont dû subir et endurer matériellement, physiquement et psychologiquement.

Depuis notre indépendance, la gestion clanique, ethnique et régionaliste du pouvoir reste notre principale faiblesse et notre principal facteur de division, utilisée à la fois par les élites en quête de pouvoir ou pour conserver le pouvoir et leurs privilèges ainsi que par les puissances extérieures. Notre diversité ethnique et culturelle censée être une force se révèle être un frein à notre unité et à notre développement.

Tous les régimes qui se sont succédé, se sont reposés sur leurs ethnies pour conserver le pouvoir et combattre leurs opposants issus d’autres ethnies. C’est ainsi que pendant la première République, Sékou Touré s’appuya principalement sur les Malinkés. Lansana Conté quant à lui s’appuya sur les Soussous. Et Alpha Condé a reproduit le schéma de la première République et s’est allié aux soussous (ses oncles, comme il les appelle).

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