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Politique

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Khalifa Kassama Diaby, ancien ministre de l’Unité nationale et de la Citoyenneté était l’invité de la radio espace Fm, dans son émission ‘’ les grandes Gueules’’. Dans cet entretien Gassama a dressé un tableau sombre de la situation sociopolitique du pays...

Bonjours M. le ministre. Au regard de tout ce qui se passe, les crises institutionnelles, les crises politiques, les crises électorales qui s’enchainent et mêmes des crises sociales qui viennent de se greffer à cette situation, est-ce que vous avez l’impression d’avoir été écouté ?

« Je crois que je n’ai pas la prétention de m’estimer suffisamment important pour savoir si je dois être écouté ou pas, mais les Guinéens devraient eux être écoutés. Il suffit d’y prêter attention. Je voudrais dire que je suis triste pour ce pays. Je veux parler d’humanité, une vingtaine de nos concitoyens ont été assassinés dans ce pays.

Et pendant que ces corps étaient chauds, on assistait encore dans le pays et à travers tous les canaux de communications de façon indécente et honteuse des polémiques futiles. Alors je m’interroge, ce pays a-t-il perdu son humanité ? Ce pays a-t-il encore de l’honneur et de la dignité à défendre ou alors est-il plus important d’appartenir à un camp politique, de défendre une position politique, que défendre l’honneur et la dignité de ce pays ? Et par conséquent l’honneur et la dignité des filles et des fils de ce pays ?

Ce qui nous caractérise, c’est notre humanité. Tout ce que nous faisons aujourd’hui est censé être fait pour garantir à chaque Guinée et chaque guinéenne la possibilité de voir son honneur et sa dignité préservé, et ce n’est plus le cas, ce n’est pas le cas et c’est triste pour ce pays. Plus d’empathie, plus de fraternité, plus d’humanité.

En fait il faut faire très attention, je crois que de très nombreux Guinéens de toute part, on a décidé de renoncer à leur devoir citoyen pour abandonner ce pays entre les

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Les listes électorales affichées, mardi dans plusieurs quartiers de Conakry, ont été déchirées et brûlées, notamment dans les endroits considérés comme fiefs de l’Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG) et l’Union des forces républicaines (UFR), deux formations de l'opposition.

A trois semaines de la tenue des élections législatives, la guerre des affiches fait rage surtout dans les fiefs de l’opposition. Des tensions ont été notées dans les villes de N’Zérékoré, de Boké à l’intérieur du pays, à Hamdallaye II, secteur 5, situé en haute banlieue de Conakry, quelques minutes après l’affichage des listes. Ces dernières ont été déchirées et brûlées par des individus supposés appartenir à l'opposition. Sous l’anonymat, un membre de la Commission administrative d’enrôlement et de révision des listes électorales (CAERLE) de cette zone, déplore l’acte.

« Hier, on nous a appelé au niveau de la Commission électorale communale indépendante (CECI) de Ratoma pour nous expliquer comment l’affichage des listes devait se faire et nous orienter vers les chefs de quartiers pour les récupérer. Avec certains collègues de la CAERLE, nous les avons affichées à Hamdallaye II, dans le secteur 5, qu’on appelle aujourd’hui secteur Oumar Barry. Et quelques minutes après, on nous appelle pour nous dire qu’on a déchiré les listes. Lorsqu’on est venu constater les faits, on a failli nous lapider aussi », confie notre interlocuteur angoissé, soulignant que « ce sont les jeunes du quartier qui ont procédé à cet acte déplorable ».

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Pour la deuxième semaine consécutive, le FNDC a lancé un appel à la résistance citoyenne active sur l’ensemble du pays pour protester contre le coup d’État constitutionnel visant à octroyer un 3ème mandat à M. Alpha Condé.

Dès les premières heures de ce mardi 21 janvier, les citoyens de toutes les communes de Conakry et d’une vingtaine de villes de l’intérieur du pays ont massivement répondu à l’appel du FNDC à travers des actions de protestation qu’ils ont menées dans leurs
quartiers et districts respectifs.

On a observé une paralysie totale ou partielle de la circulation et un ralentissement des activités administratives et économiques dans la plupart des villes du pays notamment à Conakry, Fria, Kamsar, Sangarédi, Kindia, Boffa, Boké, Kolabougni, Coyah, Dubreka, Pita, Mamou, Labé, Dalaba, Tougué, Mali, Telemelé, Koundara, Pita, Gaoual, Koubia, Dinguiraye, Mali, Dabola, Faranah et à N’zérékoré.

Débordées par l’ampleur des manifestations et mues par leur haine viscérale envers leurs concitoyens, les forces de l’ordre à la solde du pouvoir n’ont pas hésité à violenter les manifestants.
A travers sa mobilisation et les actions d’envergure qu’il a menées sur le terrain, le Peuple de Guinée a montré qu’il est déterminé à faire respecter les principes démocratiques et l’État de droit dans notre pays, quel que soit le prix à payer.

Au cours de cette journée, on a dénombré une dizaine de blessés dont deux par balles et une vingtaine de personnes arbitrairement

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