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Politique

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Entre abandonner ou « empêcher » le processus électoral en cours ou miser tout ce qu’elle possède, au risque de tout perdre, l’opposition guinéenne se trouve dans un dilemme. C’est dans un climat délétère que M. Alpha Condé s’apprête à organiser sa parodie d’élection pour renouveler une Assemblée nationale déjà périmée il y a de cela un an.

Le fichier électoral en cours d’élaboration, fortement contesté, est prémisse de violences. C’est un secret de polichinelle. La carte électorale qui fait déjà couler beaucoup d’encre et de salive, attise aujourd’hui la polémique dans les rangs de l’opposition qui voit, derrière cette opération, se profiler une fois de plus un hold-up électoral avec un recensement non fiable, alors qu’un recensement crédible est un gage d’une élection transparente. Or, les élections législatives prévues le 16 février 2020 représentent un enjeu politique majeur pour notre pays. En effet, une élection constitue le mode le plus légitime pour désigner les représentants de la République. Elle suppose une liberté de choix, symbolisée par la multiplicité des candidatures, un corps électoral fiable, une loi électorale impartiale, une commission électorale non partisane, l’égalité de traitement entre les compétiteurs.

Alors, le démocrate guinéen s’arroge le droit de s’interroger sur la participation à ce scrutin qui risque de mettre en selle un pouvoir illégitime et honni de la population pour avoir détruit la société civile et les partis politiques crédibles qui jouent un rôle d’intermédiation entre le pouvoir et la population afin d’éviter toute explosion sociale dont personne aujourd’hui, même un mage, ne peut prévoir les conséquences. Le risque de la participation vaudrait-il la peine d’être pris ? À vous de jouer! La vérité c’est que, le changement tant souhaité en Guinée, passera sans nul doute d’abord par le changement des mentalités, le patriotisme, l’amour du prochain et la prise en main du destin de notre pays par une nouvelle génération d’hommes et de femmes, en s’appropriant les appareils politiques historiques confisqués par des personnes cupides et vendeurs d’illusions. L’esprit de sacrifice et d’ouverture vers

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A l’occasion de la cérémonie d’ouverture d’un atelier ce lundi, 16 décembre 2019, la ministre de l’Action Sociale, de la Promotion Féminine et de l’Enfance, a réaffirmé l’engagement du gouvernement à faire en sorte que les personnes vivant avec handicap sortent de la marginalisation et la stigmatisation dont elles sont victimes.

«Nous ne pouvons pas concevoir que des populations aussi vulnérables que ces personnes, soient laissées pour compte», a souligné la ministre Mariam Sylla.

Profitant de l’occasion, la ministre a rappelé que le gouvernement guinéen a élaboré un programme d’autonomisation et d’inclusion des personnes

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Lors de l’assemblée générale de l’Union des Forces Républicaines (UFR) de ce samedi, 14 décembre 2019, la suspension par l’opposition de sa participation au cadre de dialogue politique était au centre des discours.

Le vice-président, El hadj Boubacar Barry, a expliqué aux militants les raisons qui ont motivé cette décision prise par l’UFR et l’UFDG, seules représentantes de l’opposition à ce dialogue.

«On doit enrôler les nouveaux électeurs qui ne le sont pas depuis 5 ans, nettoyer le fichier de ceux qui sont décédés. Paradoxalement, ils n’ont consacré que 25 jours pour faire le travail. Mais comme vous l’avez su, à partir du moment où on s’est rendu compte qu’il n’y a aucune volonté d’aller de l’avant, ou il n’y a aucune bonne foi pour les éléments les plus basiques, c’est-à-dire l’information… La CENI ne veut pas fournir ces informations, le ministre de l’Administration du Territoire n’est pas disposé non plus à mettre en place les conseils de quartier et de districts», a déploré le vice-président de l’UFR.

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