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Politique

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Des affrontements ont été enregistrés ce jeudi, entre policiers et des protestataires qui sont descendus dans les rues de la capitale tchadienne…

« Depuis le matin, la situation est tendue ici à N’Djamena », annonce une source contactée.

« Les manifestants ont bloqué, certaines artères de la capitale et la police fait usage de gaz lacrymogènes pour les disperser », précise la source. Pour l’heure, notre source s’abstient de nous communiquer un bilan précis de la situation, mais fait tout de même, état d’un mort dans la foulée des affrontements.

Des blessés et de nombreuses arrestations sont également a noté dans le cadre de cette manifestation interdite de centaines de personnes à N’Djamena.

« Ils nous tirent dessus. Ils tuent notre peuple. Les soldats du seul général qui a refusé d’honorer sa parole et aujourd’hui c’est la fin des 18 mois, voilà comment il entend installer la dynastie en tuant le peuple », a déclaré dans un message sur Twitter Succès Masra, l’un des principaux opposants du parti Les Transformateurs, qui avait lancé mercredi un appel à manifester pacifiquement. Aucun bilan officiel de ces heurts n’a été communiqué pour le moment.

Une autre source contactée nous parle des raisons de cette protestation qui tient en haleine toute la capitale du Tchad…

« Par cette manifestation, les protestataires entendent dénoncer la confiscation du pouvoir par les militaires et interpeller la communauté

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Des heurts ont mis aux prises de jeunes Guinéens et les forces de sécurité jeudi dans la banlieue de Conakry, faisant une vingtaine de blessés, a indiqué le collectif interdit qui a appelé à manifester contre la junte au pouvoir. Le Front national pour la défense de la Constitution (FNDC) qui a appelé à la mobilisation a dit dans un communiqué déplorer "une vingtaine de personnes blessées dont certaines par des tirs à balles réelles, (et) de nombreuses arrestations". Aucune confirmation de ces informations n'a été obtenue d'autre source.

L'opposant guinéen Cellou Baldé placé sous contrôle judiciaire

Le FNDC, officiellement dissous par la junte, avait appelé à manifester pacifiquement jeudi à Conakry, puis le 26 octobre dans tout le pays, pour réclamer un retour rapide des civils à la tête du pays, ainsi que la libération des prisonniers détenus selon lui pour des raisons politiques. Le FNDC est la dernière organisation à mobiliser, mais a reçu le soutien des principaux partis, réduits à l'inaction.

La banlieue de Conakry et la route Le Prince qui la traverse sont traditionnellement le théâtre de la contestation. Les médias locaux y ont rapporté des confrontations dans différents quartiers pendant la journée. Des dizaines de pick-up de police et de gendarmerie ont été stationnés le long de cet axe. Des jeunes ont cependant brûlé des pneus et renversé des poubelles sur la route, désertée de tout

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L’union des Guinéens est aujourd’hui une urgence qui constitue les maillons stratégiques dans la démocratie, c’est pourquoi Editorialiste Habib Marouane Camara à travers sa plus interpelle les cadres conscients et les autorités du pays à plus de responsabilités…pour le bonheur de la Guinée.

« Le devoir de tout citoyen, dans la situation actuelle du pays, est de s’intéresser à la vie de la Nation afin d’apporter sa contribution et ses critiques pour sa construction.

Malheureusement, aujourd’hui, où nous avons plus que besoin de nous unir, la politique des hommes forts du moment ne fait que diviser les Guinéens et radicaliser les positions par un rejet systématique de toute critique, et le plus cruel dans cette tragédie est que celui qui critique est perçu d’office comme un ennemi ! Et la justice est utilisée pour des règlements de comptes personnels ou mettre à la touche des leaders politiques représentatifs d’au moins 99% des populations guinéennes.

Ils ont tous oublié que la liberté de mouvement et d’expression est garantie par une Charte. Mais il y a des hyènes vêtues de la peau d’agneaux qui se sont infiltrées dans le groupe des agneaux pour pouvoir les dévorer. Eh oui, l’homme sensé être la solution est devenu le calvaire.

Notre liberté d’expression, nous l’avons acquise sous Lansana Conté, et cette liberté d’expression, certains en ont pleinement profité sans jamais être inquiétés. Aujourd’hui, cette même liberté d’expression est prise en otage, ce qui veut dire que le navire a pris de l’eau, et ne tardera pas à s’écrouler si les dirigeants ne prennent garde. Le lion est blessé, et nous savons tous de quoi le lion est capable quand il est blessé.

Le refus de tout ordre actuel a endeuillé des familles, blessé des Guinéens, détruit des biens par un manque total de vision pour mettre ce beau pays sur la voie de la démocratie, de l’entente et du vivre-ensemble.

La situation actuelle des restrictions des libertés se passe de tout commentaire. C’est du jamais vu en Guinée, un véritable cas d’école en matière d’échec dans la gouvernance.

L’amateurisme, le manque de vision et la corruption ont fini par mettre en péril l’équilibre social avec un incivisme et une banalisation de la vie humaine.

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