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Politique

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L’assemblée généra hebdomadaire de l’union des forces républicaines (UFR) de Samedi dernier était présidé par le Premier vice-président du parti, Bakari Goyo Zoumanigui qui dans son intervention a durci le ton par rapport au refus de kory Kondiano de payer les primes des députés de l’opposition sous prétexte que ceux-ci avaient quitté l’hémicycle pour participer au manifestation du FNDC le 10 décembre 2019 dernier.      

 L’Assemblée Nationale a clôturé sa session à queue de poisson, cela est dû à une situation créée selon les députés de l’opposition par le président de l’Assemblée Nationale qui a refusé de payer les indemnités des députés de l’opposition parce que ceux-là avaient quitté l’hémicycle pour participer au manifestation du FNDC,  

« Il est bon de savoir que les indemnités dont il s’agit, c’est les indemnités pour les logements, les véhicules que nous avons achetés avec ces indemnités, il y a aussi le frais du carburant, il s’agit de ces indemnités », a indiqué Koyo Zimanigui, le vice-président de l’ufr.

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Le dernier AG de l’union des forces républicaine (UFR), au compte de 2019 de ce samedi, 28 décembre 2019, l’honorable Ibrahima Bangoura, dans son allocution s’est appesanti sur le compte rendu de la réunion de l’opposition plurielles qui s’est tenu le lundi, 23 décembre au siège du FNDC. Il a réitéré l’engagement de l’opposition à empêcher les élections vaille que vaille tant que les quatre conditions posées par les opposants ne sont pas remplies.   

Selon Honorable Ibrahima Bangoura lors de cette rencontre entre l’opposition et le FNDC, la question a été posé, s’il faut aller aux élections législatives avec ce fichier incriminé par eux (l’opposition plurielle), qui selon elle ne rien d’autres qu’une autre condition d’aller au 3ème mandat   

 « Vous avez vu le recensement et la manière dont il s’est passé, à certains adroits d’après, Dr Faya, en Forêt, il y a plus de 100 districts, ils n’ont pas vu un seul recenseur, qu’ils n’ont été recensés, au Fouta le président Cellou Dalein a presque donné une panoplie incroyable d’anomalie enregistrée dans ce recensement Quand il a fini, le président Sidya Touré a aussi pris la parole qui s’est étendu en long et en large sur tout ce qui s’est passé ici en Basse Guinée et dans le reste du pays », a souligné honorable Ibrahima Bangoura.

Ce qui est ridicule dans ce recensement poursuit-il, tout est fait pour minorer dans les fiefs de l’opposition, et d’augmenter le nombre d’électeur dans les fiefs d’Alpha Condé, il dit par exemple à Matam, on avait un fichier de 123mille électeurs, ce fichier a été réduit à 72 mille, à Kaloum il y avait 60 mille électeurs aujourd’hui nous avons 30 mille électeurs.

« À l’unanimité, tous les partis se sont prononcés pour ne pas qu’on aille à ces élections. Et nous avons dit : ‘’non seulement on ne va pas aux élections, mais aussi on va empêcher les élections, il n’y aura pas des élections ici. Tant que les quatre conditions que voici ne seront pas remplies’’

  1ère condition, il faut un assainissement complet du ficher électorale, il faut que tout le monde soit d’accord avant qu’on aille à ces élections

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Le chef de l’Etat Alpha Condé veut doter la Guinée d’une nouvelle constitution, qui, selon lui, devra conformer le pays avec les réalités sociopolitiques et économiques.

Dans le projet de la nouvelle Loi fondamentale, on note quelques nouveautés par rapport à la constitution du 07 mai 2010. Ce document de 18 titres, est composé de 161 articles. 

                          De la présidence de la République

Dans ce projet, le mandat du chef de l’Etat passe de 5 à 6 ans. Inscrit dans l’article 40, ce dispositif stipule que : « Le Président de la République est élu au suffrage universel direct pour un mandat de six (6) ans, renouvelable une fois. » Et contrairement à l’actuelle constitution qui dispose à son article 27 : « En aucun cas, nul ne peut exercer plus de deux mandats présidentiels, consécutifs ou non », le retour d’un ancien président au pouvoir est bien possible avec le nouveau projet.

Aussi, aucune précision sur l’âge minimum des candidats n’est fixée. Alors que dans l’actuelle, il est dit « l’âge minimum pour être éligible est de 40 ans ».

Et notons avec le projet Alpha, les candidatures indépendantes sont admises dans l’article 42 pour la présidentielle et 68 pour la députation. Ces dispositifs prennent le contrepied de l’article 3 de la constitution de 2010 qui note que pour les élections législatives et présidentielles, « seuls les partis peuvent présenter les candidats ».

                                         Du pouvoir législatif

L’assemblée nationale connait aussi quelques retouches. De l’âge minimum pour être éligible fixé à 18 ans (art.68), là où, la limite était de 25 ans, à la réduction des deux sessions parlementaires en une qui se déroulera chaque année du 5 octobre au 04 juillet, (Article 75 du projet), le parlement guinéen,

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Dans cet entretien accordé à notre reporter, le leader de l’Union des forces du changement (UFC), également coordinateur de la CODENOC n’est pas allé du dos de la cuillère pour tancer les opposants de la nouvelle constitution. Pour Aboubacar Sylla le FNDC entretiendrait un « agenda caché ». Par ailleurs, le ministre d’Etat, des Transports parle de quelques activités de son département.

Bonjour M. Le ministre.  Vous avez expliqué ce qui s'est passé et qu'est-ce qu'il y a, qu'est-ce qui n'a pas marché au dialogue politique ?

Je suis très surpris par l'interruption de ce dialogue puisque comme vous le savez, j'étais au cœur des négociations et nous avons juste tenus deux séances.  La première séance, c'était pour convenir d'un ordre du jour plus précis et pour définir le cadre de travail. Nous avons dans ce cadre demandé à ce que la CENI nous fasse un état de lieu en ce qui concerne le parachèvement des élections locales, en ce qui concerne la préparation des élections législatives.

C'était les deux thèmes qui étaient à ce dialogue. La session suivante, la CENI a fait l'état des lieux et puis nous nous sommes séparés très amicalement avec la volonté de nous revoir quelques jours après avoir consulté nos différentes bases et nos différents mandants.  Et convaincus également qu'après l'intersection des partenaires techniques et financiers qui jouaient un rôle de facilitation, parfois essentiellement en dehors de session, comme ça se fait toujours dans toute négociation de façon informelle. 

Nous avions pensé donc que nous allons nous retrouver à la troisième session pour enregistrer quelques avancées. À notre grand étonnement nous avons été informés de la façon informelle que l'opposition a décidé d'interrompre sa participation à ce dialogue.  Les deux points qui étaient à l'ordre du jour en ce qui concerne le parachèvement des élections locales, la CENI a d'abord donné l'information, qu’elle ne dispose pas des résultats par quartier et par district.

 C’est ce résultat-là qui devait d'après le code électoral révisé à partir des suffrages obtenus par chaque liste au niveau des élections communales, d'identifier le nombre de conseillers de quartier ou de district obtenu par chaque liste. Donc en fonction de ces résultats, mais au niveau de chaque quartier et chaque district.  Il se trouve que d'après le code électoral révisé, la commission administrative de centralisation de votes (CACV) est destinataire des bureaux de votes directement.

 Donc les CACV font la centralisation par commune. Il n'y a pas de centralisation intermédiaire au niveau des quartiers et districts. Donc disposer des résultats au niveau des quartiers et de districts, la CENI a demandé un délai pour lui permettre de voir quels sont les bureaux de vote qui sont attachés à chaque quartier et pour voir s'il n’y a pas de bureaux vote qui sont en cheval sur des quartiers ainsi de suite, de manière à donner des résultats par quartier. Pour ça, son chronogramme établi donne un délai de 80 jours. Il y avait six activités à réaliser, pour arriver au résultat escompté. 

La CENI a également indiqué qu'elle n'a pas de budget pour cette opération. Mais tout ne nous semblait pas infranchissable étant donné que le gouvernement était là à ce

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L’opposition guinéenne ne prendra pas part aux élections législatives du 16 février 2020, a annoncé Cellou Dalein Diallo, expliquant cette mesure par l’existence d’un fichier électoral non fiable.

« Il est évident que ce fichier ne reflète pas l’état du corps électoral Guinéen. Donc, nous rejetons ce fichier. Et nous avons décidé, que nous ne pouvons pas participer », a déclaré Cellou Dalein Diallo, chef de file de l’opposition, au sortir d’une rencontre avec ses pairs, lundi à Conakry.

« Nous ne pouvons pas, a-t-il ajouté, accepter qu’une élection basée sur ce fichier soit organisée. L’opposition politique ici réunie empêchera qu’un scrutin à ce titre se tienne

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