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CONAKRY- C’est non sans surprise que le Président Alpha Condé a réagi à la question d’une journaliste ce Dimanche 15 mai 2016. Tout semblait bien parti pourtant lors de cette conférence de presse du Chef de l’Etat guinéen. Arrivé à l’heure indiquée dans le communiqué du bureau de presse de la Présidence, Alpha Condé a commencé son exposé par le compte rendu de sa mission en Gambie.

L’atmosphère a été pollué lors de la fameuse séance des questions-réponses. Coralie Pieret, la correspondante de « Radio France Internationale » ne savait certainement pas qu’on ne « doit » pas poser toutes les questions à Alpha Condé. Le locataire du Palais Sékoutoureya est apparemment « allergique » à certaines questions. Le sujet lié à l’instruction judiciaire annoncée par le Gouvernement dans le dossier lié à la société Britannique « Sable Mining » a irrité la colère d’Alpha Condé. La correspondante de RFI voulait juste savoir dans combien de temps cette procédure judiciaire allait aboutir.

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Que le cadre soit formel ou informel, est-ce possible de nos jours, pour un Guinéen, de s’exprimer sur le jeu politique de son pays sans qu’il ne soit consécutivement soupçonné ou accusé, par ses compatriotes, d’être un partisan inconditionnel ou une taupe du pouvoir ou de l’opposition ? Sous-entendant que son raisonnement est partiel et partial, donc pas crédible ? Cette hypothèse est certes possible, mais elle est généralement contredite par les faits. Et rares sont les Guinéens qui ne l’ont pas expérimenté ou observé dans leur propre entourage.

En effet, réduire la pensée de son interlocuteur à un mot, une phrase, voire la caricaturer, pour essayer de l’assigner au camp du pouvoir ou à celui de l’opposition si ce n’est à une communauté ethnique donnée, l‘accuser d’être «contre» le président de la République ou «contre» le chef de file de l’opposition, est devenu l’obsession de nombre de Guinéens.

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