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Dans un communiqué du FNDC publié ce jeudi 1er juin 2023, dont lindépendant.org a obtenu une copie, il est indiqué que le responsable des opérations du FNDC, Ibrahima Diallo, a été empêché par la police des frontières de quitter le pays à l'aéroport international de Conakry. Il se rendait à Niamey pour assister à un forum sur les restrictions de l’espace civique en Afrique, sur instruction de la junte au pouvoir en Guinée.

Ibrahima Diallo a été contacté ce matin par téléphone par FIM FM pour expliquer les circonstances de son empêchement : « J'ai été empêché de me rendre à Niamey. Mon vol était prévu ce matin à 6h55, je suis arrivé à l’aéroport à 5h40. J'ai effectué les formalités auprès de la compagnie aérienne, passé la douane et suis arrivé à la police des frontières. C'est là qu'ils ont pris mon passeport et m'ont demandé d'attendre pendant qu'ils se réfèrent à leur chef hiérarchique. J'ai attendu, et après 20 minutes,

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Lors du débat d'orientation constitutionnelle à l'hémicycle ce mardi 23 mai, la Coalition pour la Promotion des Langues Maternelles (CoLaM), ainsi que d'autres organisations de la société civile de Guinée, a formulé des recommandations aux conseillers du Conseil National de la Transition (CNT) concernant la future constitution du pays.

Le principal sujet de discussion abordé par la CoLaM a été le statut des langues dans la thématique de la forme de l'État. Trois options ont été présentées : le maintien du statu quo avec le français comme langue officielle, l'officialisation des langues nationales, ou la convergence vers une langue nationale dominante, explique Ibrahima Konaté, coordinateur de la CoLaM.

« Voulez-vous que la langue française, une langue parlée en France, soit toujours utilisée par les autorités pour s'adresser au peuple de Guinée ? Souhaitez-vous que votre langue, ainsi que celles de vos compatriotes guinéens, soient utilisées directement dans les bureaux, les tribunaux, l'assemblée nationale, etc. ? Préférez-vous choisir une seule langue guinéenne parlée par un plus grand nombre de personnes et que tout le monde utilise cette langue ? Si vous posez ces questions aux citoyens, il est indéniable que la majorité optera pour la deuxième option, c'est-à-dire l'officialisation des langues nationales. », a-t- Il souligné

Selon, lui, Pour la Coalition pour la Promotion des Langues Maternelles, le choix est déjà fait :

« Nous soutenons l'officialisation des langues nationales en République de Guinée. C'est un choix naturel puisque nous avons naturellement en Guinée plusieurs communautés riches en diversité linguistique, ce qui équivaut à une diversité culturelle. Comme l'a dit Ahmed Sékou Touré, la réhabilitation et la valorisation des cultures africaines grâce à la pratique des langues africaines sont des impératifs pour les États africains. L'utilisation de ces langues permettra aux masses laborieuses, forces de progrès, de maîtriser la science, la technique et la technologie, qui sont les facteurs clés du développement de nos pays. », a rappelé Ibrahima Konaté.

Il est dit ailleurs par Cheik Anta Diop poursuit-il : « Aucun peuple sérieux ne peut prétendre se développer dans la langue et la culture d'autrui ». De même, Solomana Kanté, inventeur de l'écriture N'ko, affirme : « Ce que nous pouvons apprendre en trois ans à travers une langue étrangère, nous pouvons l'apprendre en seulement trois mois dans notre langue'. »

Depuis des décennies, nous sommes contraints d'apprendre et de nous exprimer dans une langue étrangère. C'est la raison pour laquelle le niveau des élèves diminue jour après jour et que le peuple ne participe pas suffisamment au développement du pays, simplement parce que la langue qui lui est imposée est celle d'un autre.

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