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Les inscriptions au concours d’excellence YAGUI et FODE en productions journalistiques sur le phénomène de la migration ont été ouvertes officiellement ce vendredi, 30 août 2019 à travers une déclaration faite par l’Association des Femmes Journalistes de Guinée (AFJ-G). Une initiative de cette association en coopération avec l’Ambassade d’Italie en Guinée, sur financement de l’UNESCO.
L’objectif du concours est d’encourager les projections et la diffusion/ publication de rapportages de qualité sur la migration afin d’améliorer la couverture médiatique sur les questions migratoires. Ce concours vise notamment à informer les jeunes et les femmes sur les risques et les dangers liés à l’immigration clandestine mais aussi sur
Add a commentCe matin, je rends hommage à ces braves femmes qui évoluent dans l’anonymat. Ces battantes qui évoluent sans aucune assistance mais qui, pourtant, se démerdent à qui mieux mieux. Ces Guinéennes se lèvent au premier chant du coq, se lancent sans se lamenter à la quête de la pitance familiale.
Dans les marchés comme dans les bureaux, aux champs ou dans les mines, elles sont partout. Elles contribuent au développement du pays, et œuvrent au bonheur de la société.
Dans les marchés comme dans nos rues, elles se battent au milieu du vacarme, des klaxons et des badauds. Accrochées à ce commerce bon marché, elles portent tous les espoirs d’une vie meilleure.
Femme de Guinée, cette dure, consignée dans les bureaux, aux travaux de bas étage, rémunérée à la légère. Une paie de misère contre un sacrifice pourtant élevé. Je loue ton courage sans cesse renouvelé.
Toi qui excelles dans les champs où ta bravoure est sans reproche. Nos vaillants griots, gardiens de l’histoire, ne sont d’ailleurs jamais avares de compliments pour te sublimer.
Femme de Guinée, le dur labeur des mines n’a non plus de secret pour toi. La légende de ta force et de ta bravoure court d’ailleurs par monts et vaux, transgressant les frontières nationales.
Oui, j’ose à peine évoquer ton dévouement pour le bien-être de la maisonnée, sans écraser une larme, tant ta place est à l’opposé de ton énorme tâche quotidienne.
Add a commentDans le cadre de leur autonomisation, des femmes mariées et des jeunes filles ont accepté de faire le métier de couture. A Khabitaya, un quartier situé dans la commune de Matoto, notre reporter a rencontré leur formatrice Madame BALDE Hawa qui jouit d’une bonne réputation dans le quartier.
« Je suis coutrière depuis 2007. J’ai obtenu mon diplôme en 2009. Donc j’ai fait deux ans
Add a commentLire la suite : Matoto/ Khabitaya : A la découverte de Hawa Baldé, diplômée en couture