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Face à l'augmentation des boîtes de nuit, bars et maquis dans les grandes villes du pays, les propriétaires de ces établissements bruyants se soucient peu des nuisances causées aux riverains. Face à cette situation préoccupante, l'Office National des Loisirs, dirigé par Mamadou Bailo Barry, a déclaré hier lors d'une conférence de presse que sa direction travaillait à l'élaboration d'une réglementation pour ce secteur.

« Nous travaillons à l'élaboration de ces textes afin de mettre à jour notre programme pour aller vers ces structures organisées et non organisées. Comme notre direction est récemment créée, nous sommes en train de produire toute la documentation nécessaire et de nous organiser avant de réglementer les autres. L'Office National des Loisirs effectue un travail minutieux pour sévir contre tous les propriétaires qui ne respectent pas les normes », a expliqué Mamadou Bailo Barry.

« Il n'y a pas de précipitation pour les interpeller ou aller vers eux. Nous comptons mettre en place tous les documents nécessaires avant de les réglementer. Nous savons que ces établissements existent partout, même à l'intérieur du pays. Cependant, les problèmes tels que les normes, l'hygiène et la sécurité ne sont pas résolus ».

Déjà, le directeur général de l'Office National des Loisirs invite les propriétaires de ces lieux à tenir compte des voisins et à garantir la sécurité de leurs clients. « Ils doivent veiller à la santé et à la sécurité de leurs clients car personne ne leur dit ce

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Dans le quartier Manqué-pas de la commune de Kaloum, une bretelle est devenue le théâtre d'une situation préoccupante. Alerté en début de semaine par un témoin anonyme, notre reporter s'est rendu sur place pour constater les faits.

Cette bretelle, qui mène à la mosquée de Boulbinet, est aujourd'hui associée à un sentiment d'insécurité et de débauche. À cet endroit précis, l'atmosphère rappelle plus les favelas brésiliennes ou certaines parties de la Jamaïque, où tout est permis : consommation de drogues, de chicha et de chanvre indien, échanges de propos grossiers, injurieux et diffamatoires, le tout à la vue de tous.

Selon le témoin, cette zone est particulièrement dangereuse pour les étrangers qui s'y aventureraient après 23 heures, risquant de se faire dépouiller. Le lieu est devenu un repaire de débauche où les individus partagent leurs butins, consomment de la drogue et de la chicha en toute impunité. Pire encore, ces actes sont commis avec témérité, sans état d'âme et en pleine période de Ramadan. Malheureusement, les personnes censées lutter contre ce fléau et protéger les citoyens sont parfois impliquées, venant même prendre leur dose de drogue avant de repartir.

Le témoin interrogé, tout comme de nombreux résidents du quartier, s'indigne de cette situation et appelle les autorités à prendre des mesures pour y remédier.

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Malgré l'affliction qui frappe la famille, la fille de la défunte refuse que son corps soit transporté en Turquie, comme cela était initialement prévu. Selon un message diffusé sur le réseau, cette attitude est due à l'influence du CNRD en complicité avec les autorités françaises.

Les autorités guinéennes auraient ainsi décidé de rapatrier le corps à Conakry, contre la volonté d'Alpha Condé et de sa fille. Cette situation risque de conduire à une situation de chaos et de division lors des funérailles de Hadja Djèné Kaba. En effet, selon les lois de l'islam et du mariage, il est nécessaire d'obtenir le consentement du mari pour toute décision relative à sa femme, même après son décès. Les militants et amis d'Alpha Condé ne sont donc plus invités à se mobiliser, et chacun doit respecter la volonté du mari de la défunte.

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