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‘’AMALI’’ comme son nom l'indique en soussou (Aide-la) est une ONG qui œuvre pour la défense des droits des femmes. Aujourd'hui, nombreuses sont des femmes qui sont victimes de violence soit conjugale, physique ou de viol. C'est pour palier à tous ces harcèlements qu'AMALI entend apporter sa contribution auprès des victimes à travers des sensibilisations, d'accompagnements... 

C'est par une projection de film sur les violences basées sur le genre dont l'intervention des leaders religieux, de médecin légiste, de psychologue et des victimes, que l'ONG annonce les couleurs de ses activités le mardi 24 novembre 2020, à la maison de la presse.

« La motivation à la réalisation de ce film est d'abord personnelle, ensuite c'est suite à un constat fait sur le terrain qu'on a mené en 2015 pour faire l'état des lieux. Nous étions loin d'imaginer que ce rapport allait nous montrer  que 95% des personnes interrogées étaient victimes de violence et les plus remarquables étaient les violences conjugales et les viols », déclare Houray Bah présidente et réalisatrice du film ''wamali'' (aider la) sur les motivations de la création de cette ONG.

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La sous-préfecture de Koumban (préfecture de Kankan) a défrayé la chronique cette semaine avec cette affaire de bœufs tués par des individus au détriment de leurs propriétaires venus d’une autre région de la Guinée.

« Ce jour-là, on était auprès de nos bœufs, quand nous avons vu plusieurs personnes foncer sur nous. Certains étaient munis de fouets, d’autres de machettes… Ils se sont mis directement à chasser nos bœufs. Même si on ne peut dire le nombre exact, je puis vous assurer qu’ils en ont tué plusieurs centaines avant d’emporter leurs chairs. Des habitations aussi ont été détruites et des objets de valeur emportés », s’est confié à la presse locale une victime.

« Les éleveurs se sont installés dans nos forêts, il y a de cela deux ans… Mais tout a commencé quand les habitants des localités de Koumbankoura, Koumbankoro et Maréna ont revendiqué ces terres pour faire de l’agriculture. Un beau jour, des citoyens se sont levés pour partir dans la forêt et ils ont commencé à chasser les bœufs des éleveurs. C’est ainsi que tous ces incidents sont survenus. Après l’acte, des gens sont venus pour le constat, des spécialistes du service de l’Elevage. Mais, ils n’ont pas trouvé les

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La crise sociopolitiques meurtrières enregistrée ce dernier temps notamment autour du scrutin du 18 octobre 2020 a empiré la souffrance de la population. La paralysie des activités à un impact négatif sur les populations avec une hausse généralisée des produits de consommation courante.

Le prix du Kg de viande a connu une hausse impressionnante, passant de 45 à mille à 60 mille GNF par endroit dans les boucheries de Conakry, notamment à Ratoma et Kaloum.

 Algassimou Diallo est un vendeur de viande à Matoto. Interrogé par notre reporter à ce sujet, il apporte des précisions : « c’est vrai que le prix de kg de viande varie entre 53 000 GNF à 55 000 GNF. Chez nous ici pour le moment c’est 53 000 GNF. Mais ne soyez pas étonné quand on vend à Kaloum le kg à 60.000fg. Il y a un manque criard de boeufs actuellement. La Commune de Kaloum se procure à partir d’ici. Donc quelqu’un qui quitte Kaloum vient à Matoto pour acheter, forcement il tiendra en compte le prix du transport. Il ne fait pas tout ça pour ne rien avoir. Il a besoin d’un bénéfice. S’il fixe son prix à 58 ou 60 mille GNF. Ce n’est

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