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Politique

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Maitre Hamidou Barry avocat du FNDC était l’invité de nos confrères de lynx Fm, au début de la semaine, le Président de la coalition guinéenne pour la cour pénale internationale (CPI) a dans son intervention dénoncé l’enseignement à distance lancé par le ministère de l’éducation nationale et de l’alphabétisation, pour lui, l’enseignement sur l’internet est destiné seulement à celui qui est initié, qui a une formation de base solide, mais dans le contexte actuel de la guinée, ce n’est pas réalisable selon lui. Il lance également un appel à l’endroit du président de la république et le ministre de la justice, à un décret graciant tous ceux qui ont commis de délit, pour désengorger la maison centrale afin d’éviter la propagation du covid-19. Interview.

Bonjour maître ! vous êtes un habitué du couloir de la cour pénale internationale, que vous inspire ce signalement contre la Guinée auprès la cour pénale déposé par les avocats Français du la Front nationale pour la défense de la constitution ?

C’est une action a salué, à encourager, à soutenir, il faut qu’on apprenne toujours à saisir la justice nationale mais surtout la cour pénale internationale lorsqu’il s’agit des crimes relevant de sa compétence, Alpha … va le crime de génocide, le crime contre l’humanité, le crime de guerre et aujourd’hui le crime d’agression, donc c’est une action que nous soutenons en tant qu’activiste de droit de l’homme, en tant que président de coalition guinéenne pour la cour pénale internationale, membre de la coalition mondiale pour la cour pénale internationale et membre du réseau africain pour la justice pénale internationale, donc voilà des actions à saluer et comme l’a dit mon confrère, c’est sur le fondement de la disposition des articles 7 et 15 de statut de Rome du 17 juillet 1998 dont la Guinée a ratifié, il y a plus de 10 ans, depuis 2003.

Voilà ce que j’ai à dire concernant cette action du FNDC et à vous rappeler que l’OGDH et la coalition guinéenne pour la cour pénale internationale sont membre du FNDC, et moi personnellement aussi à côté des avocats guinéens, je suis avocat du FNDC, nous défendons la légalité, nous luttons contre l’impunité.

Et on ne cessera de le dire, le mal de la Guinée depuis 1958, c’est l’impunité, le non-respect de nos textes et aussi les violations massives des droits de l’homme depuis 1958 : Camp Boiro, 2007, 2008, les bacheliers de 2006, les massacres de 2009 au stade de 28 septembre et ce qui s’est passé en Nzérékoré, à Boké, à Conakry. Combien de morts à Bambéto ? des adolescents, des femmes qu’ont été violentées etc.

Justement quelle est aujourd’hui cette situation de droit de l’homme dans le pays et puisqu’on constate malgré ce covid-19, on continue à arrêter des opposants à la nouvelle constitution ?

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A l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la liberté de la presse, le ministre de la Communication s’est fendu d’une déclaration, dans laquelle, il reconnait la précarité liée au contexte institutionnel des entreprises de presse, qui selon lui affecte également la liberté et la crédibilité des journalistes. Par ailleurs, Amara Somparé a jugé utile d’approfondir la réflexion sur l’état de la presse en Guinée. A l’en croire, cette opération d’élaboration de la politique nationale de communication pour le développement, consistera à formuler des propositions de solutions aux problèmes identifiés afin de faire en sorte que la presse nationale assure la mission qui lui revient. Ci-dessous un extrait de cette déclaration…

« La date du 3 Mai a été déclarée journée internationale de la liberté de la presse par les Nations Unies en 1993 conformément à une recommandation de la conférence générale de l’UNESCO pour permettre d’informer les citoyens sur les atteintes portées à la liberté de la presse et promouvoir les initiatives en faveur de ces valeurs. Elle est aussi un moment de réflexion sur l’exercice de la profession de journaliste et sur le fonctionnement des médias dans le monde généralement autour d’un thème choisi pour sa pertinence ; le thème retenu cette année est : « un journalisme sans contraintes et sans complaisance ».

Hélas, la célébration de cette journée importante est malheureusement étouffée cette année par la pandémie du COVID 19 qui s’est abattue sur le monde entier. J’adresse donc mes vœux de prompt rétablissement à tous les journalistes qui ont été infectés par le virus SRAS-COV 2 et, au delà, à l’ensemble des malades à travers le monde.

Mesdames et Messieurs,

La construction de la démocratie amorcée dans notre pays, a favorisé l’expression plurielle à la faveur du multipartisme.  La célébration de cette

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A l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la liberté de la presse, le ministre de la Communication s’est fendu d’une déclaration, dans laquelle, il reconnait la précarité liée au contexte institutionnel des entreprises de presse, qui selon lui affecte également la liberté et la crédibilité des journalistes. Par ailleurs, Amara Somparé a jugé utile d’approfondir la réflexion sur l’état de la presse en Guinée. A l’en croire, cette opération d’élaboration de la politique nationale de communication pour le développement, consistera à formuler des propositions de solutions aux problèmes identifiés afin de faire en sorte que la presse nationale assure la mission qui lui revient. Ci-dessous un extrait de cette déclaration…

« La date du 3 Mai a été déclarée journée internationale de la liberté de la presse par les Nations Unies en 1993 conformément à une recommandation de la conférence générale de l’UNESCO pour permettre d’informer les citoyens sur les atteintes portées à la liberté de la presse et promouvoir les initiatives en faveur de ces valeurs. Elle est aussi un moment de réflexion sur l’exercice de la profession de journaliste et sur le fonctionnement des médias dans le monde généralement autour d’un thème choisi pour sa pertinence ; le thème retenu cette année est : « un journalisme sans contraintes et sans complaisance ».

Hélas, la célébration de cette journée importante est malheureusement étouffée cette année par la pandémie du COVID 19 qui s’est abattue sur le monde entier. J’adresse donc mes vœux de prompt rétablissement à tous les journalistes qui ont été infectés par le virus SRAS-COV 2 et, au delà, à l’ensemble des malades à travers le monde.

Mesdames et Messieurs,

La construction de la démocratie amorcée dans notre pays, a favorisé l’expression plurielle à la faveur du multipartisme.  La célébration de cette

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A l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la liberté de la presse, le ministre de la Communication s’est fendu d’une déclaration, dans laquelle, il reconnait la précarité liée au contexte institutionnel des entreprises de presse, qui selon lui affecte également la liberté et la crédibilité des journalistes. Par ailleurs, Amara Somparé a jugé utile d’approfondir la réflexion sur l’état de la presse en Guinée. A l’en croire, cette opération d’élaboration de la politique nationale de communication pour le développement, consistera à formuler des propositions de solutions aux problèmes identifiés afin de faire en sorte que la presse nationale assure la mission qui lui revient. Ci-dessous un extrait de cette déclaration…

« La date du 3 Mai a été déclarée journée internationale de la liberté de la presse par les Nations Unies en 1993 conformément à une recommandation de la conférence générale de l’UNESCO pour permettre d’informer les citoyens sur les atteintes portées à la liberté de la presse et promouvoir les initiatives en faveur de ces valeurs. Elle est aussi un moment de réflexion sur l’exercice de la profession de journaliste et sur le fonctionnement des médias dans le monde généralement autour d’un thème choisi pour sa pertinence ; le thème retenu cette année est : « un journalisme sans contraintes et sans complaisance ».

Hélas, la célébration de cette journée importante est malheureusement étouffée cette année par la pandémie du COVID 19 qui s’est abattue sur le monde entier. J’adresse donc mes vœux de prompt rétablissement à tous les journalistes qui ont été infectés par le virus SRAS-COV 2 et, au delà, à l’ensemble des malades à travers le monde.

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« La date du 3 Mai a été déclarée journée internationale de la liberté de la presse par les Nations Unies en 1993 conformément à une recommandation de la conférence générale de l’UNESCO pour permettre d’informer les citoyens sur les atteintes portées à la liberté de la presse et promouvoir les initiatives en faveur de ces valeurs. Elle est aussi un moment de réflexion sur l’exercice de la profession de journaliste et sur le fonctionnement des médias dans le monde généralement autour d’un thème choisi pour sa pertinence ; le thème retenu cette année est : « un journalisme sans contraintes et sans complaisance ».

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