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S’exprimant dans l’émission ‘’Les grandes gueules’’ chez nos confrères de la radio Espace fm, mardi dernier, le ministre de la Santé Colonel Remy Lamah, a indiqué que la Guinée ne fermera pas sa frontière avec le Sénégal.
« Nous n’allons pas fermer la frontière avec le Sénégal. Le pays est signataire du règlement sanitaire international. Ce n’est pas parce que le Sénégal avait fermé sa frontière pendant Ebola, que nous allons aussi fermer la nôtre », a-t-il souligné, tout en indiquant que des mesures sont prises pour éviter ce virus en Guinée.
« Les mesures ont été prises bien avant qu’on ne parle du cas du Sénégal. Dès l’annonce du coronavirus en Chine, tous les pays y compris la Guinée, se sont mobilisés pour
Add a commentLire la suite : Coronavirus au Sénégal : La Guinée ne va pas fermer sa frontière (Remy Lamah)
COMMUNIQUE N°076
Dans sa volonté de favoriser une décrispation de la situation sociopolitique tendue dans notre pays, le FNDC a décidé d’organiser une marche pacifique pour dénoncer les agissements de M. Alpha Condé et son gouvernement quant à leur volonté à passer par tous les moyens pour s’éterniser au pouvoir.
Conformément aux dispositions de la loi en vigueur, le FNDC a envoyé une déclaration de marche pour informer les différentes Mairies de Conakry se trouvant sur l’itinéraire choisi pour la marche. Malheureusement, cette démarche qui devait être perçue comme une expression de la bonne foi du FNDC a reçu une fin de non-recevoir par les autorités guinéennes.
Cette attitude des autorités guinéennes prouve à suffisance que M. Alpha Condé et ses sbires persistent dans leur logique de confrontation et de violence contre le FNDC ce, quel que soit le mode de revendication que nous proposerons. Le FNDC prend acte de la volonté des autorités guinéennes à ne pas vouloir la paix dans notre pays en refusant toute initiative favorable à une décrispation du climat sociopolitique.
Le FNDC met les autorités guinéennes devant leur responsabilité pour tout ce qui pourrait advenir comme conséquence de leur refus de s’impliquer dans
Add a commentLe coronavirus a muté en au moins deux souches distinctes depuis le début de l’épidémie en décembre, selon des scientifiques chinois.
Les chercheurs disent qu’il existe maintenant deux souches du virus qui infectent les gens – et la plupart des gens semblent en avoir attrapé la forme la plus agressive.
Au moins 93 000 personnes ont été infectées dans le monde et près de 3 200 sont décédées, tandis que 50 000 se sont remises de la maladie.
L’équipe d’experts de Pékin et de Shanghai a déclaré que 70% des personnes avaient contracté la souche la plus agressive du virus et que cela causait une maladie si grave.
Maintenant, une souche plus âgée et plus douce semble devenir plus courante.
Le fait de savoir que le virus peut muter peut rendre plus difficile le suivi ou le traitement et fait craindre que les patients récupérés ne soient réinfectés.
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La mission de la CEDEAO fait déjà beaucoup jaser dans la Cité. A peine annoncée, des opposants contestent l’un des émissaires, Tall Nouroudina, un ingénieur informaticien. Par ailleurs, certains adversaires du régime Condé s’interrogent sur le travail de fond que doit effectuer la mission.
Pour mettre fin à la crise qui traverse le pays dans le cadre de l’organisation des élections, la CEDEAO a dépêché depuis mardi à Conakry une mission pour examiner le fichier électoral guinéen, source de boycott des poids lourds de l’opposition aux élections législatives.
Mais cette mission suscite des doutes chez certains opposants. Dans un entretien accordé à nos confrères de la radio Soleil Fm, El Hadj Abdoulaye Diouma Diallo, vice-président de l’Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG), confie que lui, s’attendait à « une mission des chefs d’Etats ».
« Ce à quoi nous nous attendions, c’est une mission politique de haut niveau des chefs d’États, qu’on n’avait annoncée, constituée des présidents Bouhari, Issoufou, celui du Ghana, le président Kaboré. Il était prévu qu’ils viennent rencontrer les protagonistes de la crise en Guinée », a-t-il rappelé tout en déduisant « il n’y a pas grand-chose à attendre de cette mission d’experts ».
Etienne Soropogui, ancien commissaire de la de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) aborde dans le même sens. « Il est important de rappeler à nos partenaires de la CEDEAO que le fichier électoral guinéen a déjà été audité. Cet audit a permis de tirer des conclusions et a fait des recommandations qui sont connues de tous. Il s’agit donc de mettre en œuvre ces recommandations. Nous nous attendions plus à ce stade-ci à une mission politique de haut niveau qui viendrait dire la vérité à Alpha afin, qu’il respecte ses engagements quant au respect de la Constitution et ainsi que des conclusions de l’audit», a-t-il dit, avant de se braquer vers l’un des membres de la mission.
« Parmi les experts choisis pour faire ce travail, nous émettons de sérieux doutes sur l’impartialité d’un d’entre eux en la personne de Tall qui est bien connu en Guinée, pour avoir été ceux qui ont contribué à tripatouiller le fichier en 2015, sous les instructions d’Alpha Condé. Il avait, en effet, étroitement œuvré de connivence et en lien direct avec la présidence de la République et à l’insu de la Ceni, pour tripatouiller le fichier », accuse le président du mouvement ‘’Nos valeurs communes’’.
Pour Ousmane Gaoual Diallo, « l’annonce de la CEDEAO suscite plus d’interrogations que de réponses aux problèmes qui sont posés ici ».
« Ce n’est pas une question d’audit qui pose problème. C’est la mise en œuvre des recommandations de deux audits du fichier électoral réalisés respectivement par l’UE et
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Le ministre guinéen de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Abdoulaye Yéro Baldé a annoncé, jeudi, sa démission dans une lettre adressée au président de la République.
Dans sa lettre, M. Baldé justifie son départ du gouvernement par le fait qu'« aujourd’hui, force est de constater que les valeurs pour lesquelles notre parti a lutté sont reléguées au second plan. Les institutions et le tissu social qui constituent le socle d’une nation qui se veut forte sont fragilisés chaque jour d’avantage. La sérénité dans le fonctionnement de l’Etat est mise à rude épreuve, l’environnement n’est plus favorable à la conduite des affaires de l’Etat dans l’intérêt des populations et la crédibilité de nos actes s’effrite ».
A son avis, la vision était qu’Alpha Condé soit « le premier président à assurer non seulement une transition démocratique et pacifique du pouvoir en Guinée, mais aussi à garantir un climat de
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