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Politique

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Edouard Zoutoumou Kpoghomou, membre éminent de l'Alliance nationale pour l'alternance et la démocratie (ANAD), exprime son opposition ferme à la décision de la junte militaire de mettre en place des délégations spéciales pour diriger les communes urbaines du pays.

Selon lui, le choix de nommer des délégations spéciales en remplacement des élus locaux ne constitue pas une option judicieuse. Il souligne que la composition de ces délégations spéciales par l'administration, relevant de l'exécutif, pourrait entraîner une militarisation du pouvoir. Il met en garde contre le risque que cette militarisation ne conduise à une obéissance aveugle aux ordres de la hiérarchie, compromettant ainsi les principes démocratiques.

Edouard Zoutoumou Kpoghomou argumente en faveur de l'élection démocratique de tous les acteurs politiques, afin d'éviter toute forme d'influence indue. Il prend l'exemple des États-Unis, où même les gouverneurs d'État sont élus, soulignant que ce processus garantit une démocratie plus robuste.

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Dans son allocution du Nouvel An, Alpha Condé, l'ancien président renversé par le coup d'État du 5 septembre 2021, a vivement critiqué la junte actuellement au pouvoir en Guinée. Sans mâcher ses mots, Condé a dénoncé la confiscation des libertés fondamentales des citoyens par le Comité National de Rassemblement et du Développement (CNRD), soulignant les épreuves pénibles que les Guinéens ont endurées depuis son renversement.

"Nous avons vécu deux années insupportables, cette dernière qui s'achève a été encore plus dure. La confiscation de nos libertés débutée le 5 septembre 2021 a atteint son paroxysme en 2023. Au cours de cette année écoulée, la junte nous a privés des libertés les plus élémentaires : celles d'exprimer nos opinions, de nous rassembler, d'échanger sans violation du secret de notre vie privée, celles de nous déplacer, de vivre sans avoir peur d'une arrestation arbitraire, d'un jugement orienté et d'un emprisonnement sans fin", a déclaré Alpha Condé.

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Dans son message du Nouvel An diffusé ce lundi 1er janvier 2024, le Syndicat de la Presse Professionnelle de Guinée (SPPG) annonce la reprise de la lutte face aux multiples entraves à la liberté de la presse en Guinée et émet un ultimatum envers les autorités de transition. Sekou Jamal Pendessa, le secrétaire général du SPPG, qualifie l'année 2023 de sombre pour l'exercice de la liberté de la presse dans le pays.

Après avoir exprimé ses vœux de Nouvel An aux acteurs médiatiques, le bureau national dresse un bilan « catastrophique » de l'année écoulée, marquée par des actes liberticides et des restrictions imposées aux médias guinéens, notamment en matière d'accès à Internet.

Sekou Jamal Pendessa rappelle les événements tragiques survenus le 16 octobre dernier lors d'une manifestation du SPPG, au cours de laquelle plus de 10 professionnels de l'information ont été violemment agressés alors qu'ils couvraient le blocus numérique infligé à Guinée Matin. Malgré ces actes, le gouvernement guinéen a minimisé ces agressions, renforçant ainsi les inquiétudes quant à la protection de la liberté de la presse sous la gouvernance du colonel Mamadi Doumbouya.

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À l'approche de la nouvelle année, les regards convergent vers les messages des figures marquantes, parmi lesquelles l'ex-Premier ministre et leader de l'Union des Forces Républicaines, Sidya Touré, tient une place particulière. Dans un message succinct mais empreint de profondeur, Touré s'est penché sur la situation sociopolitique de la Guinée, réaffirmant sa foi inébranlable en un avenir meilleur pour le pays.

Touré a amorcé son discours en évoquant les défis auxquels les Guinéens ont été confrontés dans l'exercice de leurs droits. « L'année 2023 a été jalonnée d'événements majeurs compromettant nos valeurs de liberté, de démocratie et de progrès », a-t-il souligné de manière concise.

En abordant les récents événements tragiques à Kaloum, Touré a exprimé sa solidarité envers les victimes. « Il y a environ deux semaines, la tragédie de l'incendie du dépôt d'hydrocarbures à Kaloum nous a frappés », a-t-il rappelé, saluant l'élan de solidarité de ses compatriotes et rendant hommage à la bravoure des secouristes. Il a également exprimé sa reconnaissance envers les nations amies qui ont apporté, et continuent d'apporter, leur assistance à la Guinée en ces moments difficiles.

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Depuis sa résidence en Turquie, l'ancien président Alpha Condé continue de surveiller de près la junte qui a renversé le régime le 5 septembre 2021. Dimanche soir, il a appelé à une escalade dans la lutte pour le rétablissement de l'ordre constitutionnel.

Dans son discours du Nouvel An, il a exprimé sa reconnaissance et sa gratitude aux forces vives et aux acteurs politiques et sociaux qui « luttent pour libérer la Guinée d'une junte violente, haineuse et prédatrice ».

Selon Alpha Condé, la junte s'inscrit dans la « dynamique de confiscation du pouvoir ». A l’instar du scénario 2023, le projet de budget 2024 ne prévoit aucune disposition pour financer son départ. Cela envoie un message clair : « Nous sommes ici et nous restons ».

Il affirme que « depuis le vote historique de 1958 qui a fait de nos peuples des pionniers dans la reconquête de la souveraineté en Afrique, nous avons partagé une histoire d'espoirs et de déceptions, mais aussi de progrès. Nous avons toujours su dire non pour préserver nos libertés et notre indépendance. »

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