Le ministre de la Communication, Rachid Ndiaye, à la tête d’une importante délégation ministérielle, a présidé la commémoration de la Journée internationale de la Liberté de la Presse, mercredi, 03 mai 2017, à la Bluezone de Kaloum, sous le signe évocateur, «Liberté et responsabilité du journaliste dans l’environnement numérique», rapporte l’AGP.
Cette journée a été une occasion pour tous les acteurs du système national d’information et les journalistes, de jeter un regard constructif sur l’état de la presse en Guinée.
Dès l’entame de ses propos, le ministre de la Communication, Rachid Ndiaye s’est incliné devant la mémoire de tous les journalistes guinéens qui ont été arrachés à l’affection de leurs proches.
Selon lui, «la journée du 03 mai, célébrée depuis quelques années en République de Guinée, a été proclamée Journée internationale de la liberté de la presse par l’Assemblée Générale des Nations Unies en 1993, suivant les recommandations de la conférence générale de l’UNESCO».
Il a expliqué, que pour l’UNESCO la journée internationale de la liberté de la presse permet de célébrer la presse, d’informer les citoyens du monde sur les atteintes portées sur la liberté de la presse.
«Selon l’UNESCO, dans de nombreux pays à travers le monde, l’exercice de la profession de journaliste est confronté à de nombreuses contraintes et difficultés avec les publications censurées ou interdites de parutions», a cité le ministre, avant de dire que les journalistes et éditeurs sont parfois harcelés.
«Je me réjouis que la situation soit différente dans notre pays, où les journalistes travaillent dans un contexte brillant et apaisé depuis l’accession du Pr Alpha Condé au pouvoir», a manifesté le ministre de la Communication.
A la faveur de cette date évocatoire, dit-il, les initiatives sont développées pour la promotion de cette liberté, et surtout évaluer l’état de la liberté de la presse dans le monde.
Cette journée a été clôturée par le partage d’un repas offert par le Ministère de la Communication.
AGP/03/05/017 TB/BOC/ST