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Accepter de démissionner ou pas ? L'ultimatum qui a été fixé aux plus de deux millions de fonctionnaires fédéraux américains par la nouvelle administration de Donald Trump a été suspendu temporairement par la justice, à quelques heures de son échéance jeudi 6 février au soir.

Neuf jours, c'est le très bref délai imparti aux deux millions de fonctionnaires fédéraux pour faire leur choix : signer ou non la proposition de « démission différée » au 30 septembre. Avec la promesse de garder d'ici là leur salaire et l'ensemble de leurs avantages sociaux, formulée à la surprise générale par le nouveau pouvoir américain. Une étape supplémentaire dans son offensive de la nouvelle administration américaine pour tailler dans les dépenses publiques et mettre au régime l'administration.

Mais un juge fédéral du Massachusetts a suspendu, jeudi 6 février dans l'après-midi, la date limite de ce vaste programme de départs, qui était fixée à 23h59 jeudi, et a programmé une nouvelle audience lundi 10 février, d'après le Washington Post.

L'action en justice avait été initiée le 4 février par le principal syndicat de fonctionnaires fédéraux (AFGE), et d'autres organisations représentatives pour obtenir que le dispositif de « démission différée » soit bloqué et que le gouvernement « élabore des mesures qui respectent la loi plutôt qu'un ultimatum arbitraire, illégal, et trop bref ».

L'USAID, la première cible

Exemple d'administration concernée au premier chef, l'USAID dont le plan de départ prévoyait que sur les plus de 10 000 employés en poste, il n'en reste que moins de 300 dont 12 au bureau Afrique et 8 à celui pour l’Asie 8. Seuls devraient restent les employés chargés des fonctions les plus critiques selon l’administration. L’agence a été la première à subir les assauts de l’administration et en particulier du chef du nouveau département pour l’efficacité gouvernementale, Elon Musk, qui l’a qualifiée d’organisation criminelle. Le secrétaire d’état américain Marco Rubio, qui en a pris le contrôle, explique qu’il ne s’agit pas d’arrêter l’aide, mais que des employés ont fait preuve d’insubordination et qu’il faut y mettre bon ordre...

Rfi