Assign modules on offcanvas module position to make them visible in the sidebar.

Testimonials

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Sandro Rosell
FC Barcelona President

Nous avons 806 invités et aucun membre en ligne

Politique

Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

L’Union des Forces Démocratiques de Guinée (UFDG) entre dans une phase décisive de son parcours politique. À travers des initiatives structurées et une présence accrue sur le terrain, le parti de Cellou Dalein Diallo affiche sa détermination à renforcer ses bases, anticipant les défis politiques à venir. 

À Kankan, sous l’égide d’une délégation de haut niveau, une nouvelle étape vient d’être franchie. La fédération locale, après des discussions animées, a reconduit Antoine Dogbo Guilavogui à sa tête. Ce vote, sans surprise, reflète la confiance des militants dans une direction déjà éprouvée. Mais ce moment symbolique est bien plus qu’une simple élection : il incarne la stratégie de continuité et de stabilité prônée par l’UFDG dans un environnement politique souvent imprévisible. 

Add a comment

Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Dans une interview sans concession, Aliou Bah revient sur l’éventualité d’une candidature du général Mamadi Doumbouya à la présidence. Fidèle à ses convictions, il met en garde contre les conséquences d'un reniement des engagements pris par le chef de la transition, évoquant une perte de légitimité et une trahison des espoirs démocratiques du peuple guinéen.

Q : Monsieur Bah, une question qui suscite de nombreuses réactions ces derniers temps : que pensez-vous de l’éventualité d’une candidature du général Mamadi Doumbouya aux prochaines élections présidentielles ?

Add a comment

Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Mohamed Lamine Kamissoko, cadre influent du RPG Arc-en-ciel, dénonce la gestion controversée de la promotion de l’avant-projet de Constitution par le gouvernement et le CNT. Entre flou persistant, exclusion des acteurs politiques et précipitation, il alerte sur un processus risquant d’aggraver les tensions politiques du pays. Interview

Add a comment

Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

La tension monte entre Alhousseine Makanera Kaké, ancien ministre de la Communication, et la direction du Front national pour le développement (FND). Ses récentes positions favorables au Comité national du rassemblement pour le développement (CNRD) sont loin de faire l'unanimité au sein de sa formation politique, qui n’a pas tardé à lui rappeler les lignes directrices du parti.

Dans un communiqué signé par le secrétaire en charge de l’implantation et des adhésions, le FND a clarifié : « Toute initiative d’Alhousseine Makanera Kaké, notamment un rapprochement avec le CNRD, relève de sa seule responsabilité et ne reflète en aucun cas la position du parti. » Cette déclaration souligne une fracture au sein du mouvement, que Makanera dirige par ailleurs, et met en exergue une opposition claire à ses prises de position unilatérales.

Add a comment

Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Alors que la date fatidique du 31 décembre 2024 approche, l'ancien parti au pouvoir, le RPG Arc-en-ciel, hausse le ton face à la gestion du Conseil National de la Transition (CNRD). Mohamed Lamine Kamissoko, proche d’Alpha Condé, a martelé ce week-end lors de l’Assemblée générale du parti que ce délai n’est pas négociable. Une posture qui traduit l’impatience grandissante et le rejet d’un glissement du chronogramme de la transition.

Au cœur de ce bras de fer, un sentiment d’exclusion que Kamissoko n’a pas manqué de dénoncer. Pour lui, les grandes formations politiques, notamment celles d’opposition, ont été écartées du processus d’élaboration de la charte de transition par une junte de plus en plus autoritaire. « Nous avons joué le jeu, participé aux discussions dans l’intérêt supérieur de la nation. Mais force est de constater que des stratégies sournoises ont été mises en place pour marginaliser les partis de poids », accuse-t-il, le ton grave et l’indignation palpable.

Add a comment