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AFP / Mohamed el-Shahed

Photographie du procès de 700 accusés (dont le photojournaliste Shawkan) dans un tribunal du Caire, en Egypte, le 8 septembre 2018

L'ONU a dénoncé dimanche la confirmation en appel par la justice égyptienne de la condamnation à mort de 75 personnes, dont des chefs islamistes, et appelé à revoir un verdict "injuste", suscitant la colère du Caire.

"J'espère que la Cour d'appel égyptienne va revoir son verdict de façon à ce que les principes internationaux de justice soient respectés", a déclaré la Haut-commissaire des Nations unies pour les droits de l'Homme, Michelle Bachelet, dans un communiqué.

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Son témoignage filmé, où la jeune fille de 17 ans montrait des tatouages obscènes et des traces de brûlures de cigarettes sur son corps, avait suscité une vague de solidarité sur les réseaux sociaux et une pétition demandant «justice pour elle».

PHOTO ARCHIVES AFP

Agence France-Presse RABAT

L'UNICEF a affirmé mercredi que le cas de Khadija, une adolescente qui dit avoir été séquestrée et violée par un groupe d'hommes dans un village du centre du Maroc, n'était pas «isolé», et appelé à des «mécanismes de protection de l'enfance» dans ce pays.

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À la veille de cette «réunion informelle», le ton est une nouvelle fois monté entre la France et l'Italie, où le nouveau gouvernement populiste a fustigé l'«arrogance» d'Emmanuel Macron après sa proposition de «centres fermés» pour les migrants dans les pays de première arrivée.

Désormais tous d'accord pour renforcer les frontières extérieures de l'UE, les Européens n'en finissent plus de se diviser sur leurs responsabilités dans la prise en charge des migrants tentant de rejoindre l'Europe, comme de ceux s'y trouvant déjà.

«La situation est risquée», a admis une source diplomatique, car faute de solution européenne «ce sera la fermeture des frontières nationales et donc la remise en cause de l'espace Schengen, donc de l'UE».

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