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Le président ivoirien, Alassane Ouattara, a promis mardi "une année électorale paisible" en 2020, année de la prochaine présidentielle en Côte d'Ivoire. Ses deux opposants, Henri Konan Bédié et Guillaume Soro, ont répondu avec leurs propres messages de vœux dénonçant des atteintes à la démocratie.
Comme un air de campagne électorale avant l'heure… Mardi 31 décembre, le président de la Côte d'Ivoire Alassane Ouattara, l'ex-président Henri Konan Bédié et l'ex-président de l'Assemblée nationale Guillaume Soro, ont lancé quasi simultanément sur les ondes et sur Internet leurs allocutions du Nouvel an.
Alassane Ouattara a promis "une année électorale paisible" en 2020, année de la prochaine présidentielle, tandis que ses deux opposants ont dénoncé les atteintes du régime à la démocratie.
Dans sa traditionnelle allocution diffusée sur la télévision publique à 20 h (locales et GMT), le président Ouattara s'est en effet voulu rassurant, alors que la vie politique est déjà tendue à dix mois de la présidentielle prévue en octobre, dix ans après la terrible crise post-électorale qui fit 3 000 morts.
"2020 sera une année électorale paisible, je vous en fais la promesse", a-t-il affirmé, exhortant "tous les acteurs de la vie politique ivoirienne à faire preuve de responsabilité en préservant la paix".
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L'ancien général et ex-Premier ministre Umaro Sissoco Embalo a été élu dimanche président de la Guinée-Bissau avec 53,55 % des voix face à son rival Domingos Simões Pereira. Ce dernier conteste les résultats et dénonce une "fraude électorale".
La Commission électorale nationale a proclamé, mercredi 1er janvier, la victoire du candidat du parti d'opposition Madem, Umaro Sissoco Embalo, à la présidence de la Guinée-Bissau. L'ancien Premier ministre a été élu à la tête de ce petit pays d'Afrique de l'Ouest à l'histoire tumultueuse en remportant 53,55 % des voix au second tour de la présidentielle lors du scrutin du 29 décembre.
Son adversaire, ancien Premier ministre lui aussi, et chef du plus grand parti du pays, le PAIGC, Domingos Simões Pereira, a remporté 46,45 % des voix, mais conteste sa défaite. Il s'est dit, mercredi 1er janvier, victime de "fraude électorale" et a annoncé qu'il comptait porter l'affaire devant la Cour suprême du pays.
"Je déclare qu'Umaro Sissoco Embalo est le vainqueur de ce second tour", a dit le président de la CNE, José Pedro Sambu, qui s'exprimait dans un hôtel de la capitale, Bissau, placé sous très haute protection.
Add a commentLa chancelière allemande Angela Merkel a été couronnée femme la plus puissante du monde par Forbes pour la neuvième année consécutive.
Le leader allemand est en tête de liste Forbes 2019, suivi de près par la française Christine Lagarde, directrice de la Banque centrale européenne, et la présidente des États-Unis, Nancy Pelosi.
La publication a félicité Merkel pour sa « réserve d’acier », pour avoir défendu le président américain Donald Trump et sa politique de réfugiés « porte ouverte » qui a vu plus d’un million de réfugiés syriens entrer dans le pays au milieu de la crise des migrants de 2015.
Ayant grandi derrière le rideau de fer dans l’ancienne Allemagne de l’Est, Merkel est devenue chancelière d’Allemagne, poste qu’elle occupe depuis 2005. Elle a dirigé le parti de l’Union chrétienne-démocrate de centre-droit du pays pendant 18 ans, à partir de 2000. -2018.
Elle a souvent été saluée comme le leader de facto de l’Union européenne et même le «leader du monde libre».
Son mandat devrait prendre fin en 2021, Merkel ayant annoncé l’année dernière son intention de se retirer lors des prochaines élections fédérales en
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