Assign modules on offcanvas module position to make them visible in the sidebar.

Testimonials

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Sandro Rosell
FC Barcelona President

Nous avons 594 invités et aucun membre en ligne

Mode de vie

Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Note utilisateur: 5 / 5

Etoiles activesEtoiles activesEtoiles activesEtoiles activesEtoiles actives

Un journaliste de votre journal en ligne, ramatoulaye.com, a rencontré l'un des responsables de l'ADLAM (Guinée), à ​​savoir Amadou Gongoret Diallo, le secrétaire national chargé de l'éducation, le jeudi 23 août 2021. Au cours de cet entretien, le focus était de discuter de l'importance d'Adlam et de son impact en Afrique et dans d'autres parties du monde. Selon Amadou Gongoret Diallo, l'écriture est la base de tout développement, et donc cette écriture mérite d'être prise au sérieux par le peuple guinéen car, selon lui, « la plume est plus puissante que l'épée ». Il appelle la jeunesse guinéenne à embrasser ce scénario et exhorte les hommes d'affaires et les personnes bien intentionnées à se manifester et à soutenir cette noble cause.

Interrogé sur le sujet, Amadou Gongoret Diallo explique : « Il faut préciser que l'Adlam est un système d'écriture utilisé pour écrire en langue peule ainsi que plusieurs autres langues africaines. Cette écriture a été inventée par deux frères guinéens, Ibrahima Diégo Barry et son jeune frère Abdoulaye Diégo Barry, en 1989 en Guinée. Adlam est composé de 28 lettres, dont 5 voyelles, et s'écrit de droite à gauche », a-t-il dit. un jour : « Personne n'a le droit d'effacer une page de l'histoire d'un peuple car un peuple sans histoire est un monde sans âme" », a-dit Alain Foka

"Ainsi, chaque peuple a sans doute une culture, ce qui veut dire qu'un peuple sans écriture est un peuple sans histoire. Aujourd'hui, on parle de civilisations antiques et médiévales parce que ces civilisations avaient un système d'écriture. Regardez ce qui se passe maintenant ; notre culture tend à disparaître simplement parce qu'il est écrit dans une langue étrangère, donc la falsification se produira à ce niveau, et quand il est falsifié, il perd sa valeur, c'est une opportunité de promouvoir la culture et la tradition africaines à travers cette écriture.

Notre culture est au bord de l'extinction. Nous aimons parler de développement, il est donc important de rappeler à cette nouvelle génération que nous ne pouvons pas nous développer en utilisant la langue écrite d'un autre. Pour se développer, nous avons besoin de notre propre système d'écriture, tout comme la France, l'Angleterre, la Russie, l'Inde, la Chine, le Japon et bien d'autres. Ils écrivent et étudient dans leur propre langue. Pourquoi pas nous ? Nous avons des langues en Afrique qui sont riches en vocabulaire, alors pourquoi ne pas inventer une écriture pour ces langues ? La langue, surtout lorsqu'elle est

Add a comment

Note utilisateur: 2 / 5

Etoiles activesEtoiles activesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Dans un entretien accordé à nos confrères de la radio Lynx Fm, lundi dernier, Alhousseini Makanera ne va pas du dos de la cuillère pour condamner l'imam Nanfo Ismaël Diaby dont les prières en langue ‘’maninka’’ provoquent la désapprobation de la ligue islamique guinéenne.

L’ancien ministre de la Communication parle même « d’abomination ».  « Le Coran étant illimité, il est impensable de croire qu'un cerveau limité peut pouvoir comprendre tout ce qui est dans le Coran. Sa traduction n'est pas égale au Coran. D'ailleurs, nous le disons en terme profane que : « traduire c'est trahir ». Vous ne pouvez pas exactement traduire le Coran... 

Add a comment

Note utilisateur: 2 / 5

Etoiles activesEtoiles activesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Bigori sous-préfecture de Mankounta (Boffa) abritera la 3ème édition du festival tournant ‘’danse D’mba et arts de Baga’’ les 8 et 9 février 2020, a fait savoir les organisateurs au cour d’une conférence de presse à la maison de la presse ce lundi, 03 février 2020.  

Objectif visé : réunir les différents village Baga, Boffa, Dubreka, Kaloum et tout le littoral autour du masque D’mba et Arts Baga pour mieux partager avec la population guinéenne et internationale les valeurs sacrées du Symbole national.

M. Edouard Binêh Bangoura est conseiller culture de la structure organisatrice a d’abord rappelé l’importance du maque mba dans le pays Baga avant de donner d’autre détail lié à ce symbole : « Ce masque rappelle les caractéristiques d’une femme nourricière. Très impressionnante par sa taille, son poids son poids et son style, cet

Add a comment