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C’est un lundi matin du 4 novembre 2024, un moment que la Basse Guinée redoutait mais qu’elle se doit de célébrer avec dignité. Les premières lueurs du jour éclairent les rues, et déjà, un silence solennel enveloppe la région, comme pour marquer l'importance de ce jour d’adieu. Le Kountiguigbé, El Hadj Almamy Sekhouna Soumah, ce patriarche dont la sagesse et l'engagement envers son peuple ont marqué les mémoires, s’en est allé. Les préparatifs se font avec soin, car chacun sait qu'il ne s'agit pas seulement de dire adieu à un homme, mais de saluer une légende vivante de la culture et des traditions de la Basse Guinée.
Add a commentÀ Konoma Koura, dans la sous-préfecture de Kinièbakoura, préfecture de Siguiri, une querelle de voisinage a viré au drame, coûtant la vie à une femme de 80 ans. Djoma Tènèn Keïta, mère de six enfants, est décédée mardi 29 octobre 2024 des suites d'une altercation survenue la veille.
Selon le médecin gendarme Dr Abdoulaye Bassirou Condé, l'incident aurait débuté lorsqu'une famille aurait jeté des ordures derrière la fenêtre de la victime. Ce geste aurait attisé les tensions entre les deux familles, et la situation a dégénéré.
Add a commentL’Union démocratique de Guinée (UDG), sous la direction de Mamadou Sylla, se dit profondément préoccupée par l’enlèvement de deux figures emblématiques de la société civile, Foniké Mengué et Billo Bah. Plus de 100 jours se sont écoulés depuis leur disparition, survenue le 9 juillet 2024, lorsque ces responsables du Front national pour la défense de la constitution (FNDC) ont été enlevés à leur domicile.
Dans une déclaration solennelle, l’UDG exprime son indignation face à cette situation "très inquiétante et douloureuse" pour les familles, amis et proches des victimes. Cet événement, insupportable pour ceux qui aspirent à la justice et au respect des droits humains en Guinée, suscite une colère légitime.
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