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Dans ta solitude obligée, je m’étourdi de douleur d’impuissant. Peu importe que cette solitude à la Nelson Mandéla soit longue ou courte ! Je sais que de Nietzsche, tu as appris à défier les obstacles. Car depuis que, dans cet État qui a tout volé à la loi, un vent s’est opposé à toi, tu navigues sans ambages avec tous les vents.
Pour cela, je reste convaincu, que tu es assez grand pour ne pas avoir honte face à l’histoire ! Landho Kinsy, en voici un pan de ta noblesse.
Parce que depuis le Traditionalisme Démocratique de Chateaubriand, l’on sait que vouloir faire jouer l’ordre contre les libertés garanties serait le pire désordre dans lequel pourrait tomber un État. Ousmane Gaoual, tes bourreaux, ces exemptés de l’empire et de la juridiction de l’État, savent bien que, dans les Assemblées de ton âge, malgré le bruit des mouches venimeuses, tu es un Dragon qui fait face à des Vipères en crise d’authenticité.
Landho Kinsy, ta lutte inspire courage ! De sorte que ton doigt qui ordonne, calme les velléités des monstres du Royaume. Dans lequel, la politique du Roi qui, (pour certains survivants du Cercle des Tropiques), n’est plus enfermé dans le serment de légalité et de loyauté, échappe aux représailles de la Nation.
On sent que, pour les grands Hommes comme tu l’es, le monde tourne autour des valeurs. Mais il tourne, invisible. Contrairement et pitoyablement, autour des comédiens de la violence contre les derniers habitants de la Démocratie, tournent le peuple (qui a dit que le peuple symbolise la misère ?) et la gloire éphémère. Et comme on le sait, le comédien immoral a de l’esprit mais il n’a point la conscience de son esprit. Ces comédiens du complot veulent entendre de toi un OUI ou un NON. Je sais que tu le sais, qu’à la place publique, la vie est faite de
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Après une troisième défaite consécutive à l’élection présidentielle, confirmée par la Cour constitutionnelle, le principal opposant Cellou Dalein Diallo n’en démord pas. Il continue de revendiquer sa victoire, affirmant que le scrutin a été truqué. Après l’épuisement des recours légaux et sans député à l’Assemblée nationale, il reste déterminé à se faire entendre par la rue et dit ne pas croire aux appels à dialoguer lancés par Alpha Condé.
Cinq hauts cadres de votre parti ou de l’alliance qui vous soutient actuellement ont été mis sous les verrous en fin de semaine. Pourtant, le président Alpha Condé estime, lui, qu’il n’y a pas de « chasse aux sorcières », ce sont ses mots. Alors, de quoi s’agit-il, selon vous ?
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Le président guinéen Alpha Condé a affirmé lors de sa première interview depuis sa réélection qu’aucune « chasse aux sorcières » n’était en cours dans son pays, malgré les interpellations ces derniers jours de figures de l’opposition.
« Il n’y a pas de chasse aux sorcières. Personne n’est ciblé, sauf les gens qui sont accusés d’avoir commandité » les violences autour du récent scrutin présidentiel, a déclaré Alpha Condé, interrogé vendredi soir à Conakry par l’AFP et la radio RFI. « Puisque nous avons arrêté des gens, c’est à la justice de trancher», a-t-il ajouté.
Cinq figures de l’opposition étaient toujours retenues par la police ou aux mains de la justice à Conakry vendredi soir, selon leurs avocats. Cellou Baldé, ancien député, s’est rendu de lui-même vendredi à la direction de la police judiciaire, où se trouvaient déjà Ousmane Gaoual Diallo, Abdoulaye Bah et Etienne Soropogui depuis jeudi, et Ibrahima Chérif Bah depuis mercredi.
Les cinq hommes figurent parmi les six opposants déclarés comme « activement » recherchés à la suite des violences électorales, et plus précisément pour avoir « proféré des menaces de nature à troubler la sécurité et l’ordre publics ». Quatre d’entre eux sont des responsables de l’Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG), le parti dirigé par le principal challenger d’Alpha Condé à la présidentielle, Cellou Dalein Diallo, qui conteste farouchement le résultat du scrutin, entaché selon lui de fraudes massives.
« Contre la violence »
Alpha Condé a été définitivement proclamé le 7 novembre par la Cour constitutionnelle président de la Guinée pour un troisième mandat consécutif à l’âge de 82 ans, après des mois d’une contestation qui aura coûté la vie à des dizaines de civils. Avec ces arrestations, l’opposition dénonce une opération visant à la museler et à faire oublier le « coup d’État électoral » auquel s’est livré selon elle le président Condé.
« Les événements ne dépendent pas d’une seule personne. Moi, je veux faire remarquer que j’ai toujours été contre la violence. Nous avons une opposition formée par d’anciens Premiers ministres qui pensent qu’il faut s’imposer par la force», a répondu Alpha Condé lors de son entretien à l’AFP et RFI. «Depuis 2011, l’UFDG est dans une posture de violences», a-t-il accusé.
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