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Politique

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Se confiant à nos confrères du site visionguinée, Alhousseine Makanera a maintenu sur la présence dans le Coran d’un verset qui fait allusion à la constitution.

Selon lui, cela est une évidence.

« Il y a même une sourate consacrée à la consultation. Consulter, c’est recueillir l’avis des gens. Et la constitution est née par référendum. Moi j’ai fait référence à un verset du Coran. On me dit de laisser ça parce que ce verset ne représente rien pour eux. Donc, c’est ce que Satan veut qui représente quelque

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Lors de l’assemblée générale hebdomadaire de l’UFDG samedi dernier, Kalèmodou Yansané a appelé ses militants à ne pas compter sur la communauté internationale, mais plutôt sur leurs propres forces.

« Nous remercions tout le monde, l’union européenne, la CEDEAO, M. Ibn Chambas, on les remercie pour leur bonne volonté, mais ne compter pas sur eux. Ne comptez pas sur eux, nous comptons sur la jeunesse de l’UFDG. Ne comptez sur personne, on ne peut compter que sur notre propre force », a lancé Kalémodou Yansané.

Paralant de la dernière marche des dernières échauffourées enregistrées à Conakry le 14 novembre 2019, le vice-président de l’UFDG accuse le gouverneur de la ville de Conakry.

« Vous avez dû constater ce qui s’est passé, c’est une agression contre le FNDC. Une agression perpétrée contre le FNDC par les autorités locales de Conakry en première ligne, monsieur le gouverneur qui est un Général d’armée, qui connaît parfaitement la règle en la matière, qui attend la nuit tardivement pour dire

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Dans un entretien accordé à nos confrère lynx Fm ce mardi, 19 novembre 2019, Le président du parti Model Aliou Bah, membre du FNDC, témoigne oculaire des échauffourées entre les forces de l’ordre et les manifestants, et victime des barbaries des forces de l’ordre dit-il, raconte les calvaires que les opposants aux troisièmes mandat ont subis

Aliou Bah : « Cette manifestation du 14 novembre, je revenait d’un voyage  et avec les membres du parti, nous avons très bien démarré, nous nous sommes tous retrouvés comme d’habitude, les partis politiques membre du FNDC se sont retrouvés chez le chef de fil de l’opposition ainsi que les autres activistes de la société civile au niveau de la PCUD  et on avait un itinéraire et un point de ralliement.

Le point de ralliement c’était le rondpoint de l’aéroport, mon équipe et moi et les acteurs de FNDC, nous nous sommes retrouvés dans une très bonne ambiance avec les manifestants, nous avons fait le chemin, la population s’est mobilisée, mais arrivée au niveau de Gbéssia, on était environ à 2 km du pont de Kondébouyi où on devait bien entendu changer d’itinéraire ou se maintenir là.

Alors nous avons constaté, moi j’étais sur le capot de mon véhicule, c’était juste à côté de celui de Sidya d’Ousmane Kaba, de Cellou Dalein et tous les autres. Alors nous constatons que les forces de l’ordre venait vers nous. Au lieu d’attendre là où ils devaient avoir leurs dispositifs de sécurité, ils venaient vers nous pour étouffer en lançant de gaz lacrymogène. Déjà, ils avaient violenté beaucoup de jeunes avant que ceux-ci ne se rabattent là où nous sommes et certains dans le quartier.

Alors, tout d’un coup, on se retrouve pris en sandwich systématiquement et de façon ciblée, alors c’est des gaz lacrymogènes qu’on lance, toute la violence indescriptible comme d’habitude. On a l’impression que ce ne sont pas des Guinéens qui sont face à leurs compatriotes, même une armée d’envahisseur ne se comporte de cette façon, tellement c’était inhumain, alors tout ceci a créé une sorte de débandade, bien entendu les gens ont commencé à suffoquer.

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