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Politique

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Les échauffourées ce lundi en marge des manifestations du Front national pour la défense de la constitution (FNDC) entre manifestants et forces de l’ordre ont enregistrés 5 morts dont un gendarme en Guinée.

Dans un communiqué diffusé ce soir par la présidence, le chef de l’Etat guinéen déplorant la rupture du dialogue entre les acteurs politiques a réitéré son appel « au dialogue responsable » et à « la concertation permanente » pour aplanir toutes les divergences et relever tous les défis qui se posent au pays.

C’est pourquoi, Alpha Condé, il y a quelques semaines, avait instruit le Premier ministre, d’ouvrir de larges consultations sur tous les sujets de

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Guinée: Depuis l’intérieur de sa résidence où il est confiné, Sidya Touré s’est entretenu au téléphone avec des journalistes postés derrière sa cour sur le déroulement des manifestations.

D’entrée de jeu, le leader de l’UFR se réjouit d’un « franc succès » des manifestations de cette journée du 14 octobre. «Simplement que nous déplorons des morts. Il y a au moins un ou deux jeunes gens qui ont été gravement atteints. Il y en a un qui est déclaré mort. L’autre dont le

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Mamadou Dian Baldé, journaliste et éditorialiste, se demande si le président Alpha Condé voudra bien renoncer à son ambition de garder les manettes du palais Sékhoutouréah au-delà de 2020, après avoir résisté à tous les appels et  objurgations des guides religieux et autres chefs coutumiers. Dans sa chronique de ce dimanche, il déplore surtout la tournure que prennent les événements,  avec  ces rapports de force qui se jouent  entre le pouvoir et le Front national pour la défense de la constitution (Fndc), dans un pays déjà très éprouvé par une gouvernance à « la godille ».   

Talibé Barry : Bonjour Mamadou Dian. Vous consacrez votre chronique de ce dimanche au bras de fer entre le pouvoir et le FNDC, deux entités qui n’entendent plus se faire de cadeau autour du fameux projet de changement constitutionnel, devenu un sujet clivant. Pour vous, les manifestations annoncées par les opposants au troisième mandat seront déterminantes dans l’issue de cette chaude empoignade?  

Mamadou Dian Baldé : On est dans une sorte de  combat entre David contre Goliath. Et bien malin qui pourrait prédire le vainqueur dans cette épreuve de force.

Certes d’un côté, il y a un pouvoir qui concentre quasiment  entre ses mains l’essentiel des attributs de l’État, et de l’autre un Fndc constitué de mouvements  hétéroclites, sans véritable ressort, certes. Mais d’une pugnacité à toute épreuve.

Il faut reconnaître qu’on en est là simplement, parce que le chef de l’État est soupçonné de vouloir gouverner envers et contre tout, au-delà de 2020. Comme pour ne pas avoir à faire face à l’épreuve de vérité qu’est le « déclin », pour tout homme politique au couchant de son règne. D’ailleurs comme nous l’enseigne un adage : toute bonne chose a une fin.

Même si dans l’entourage du président, certains refusent de voir la réalité en face. D’où la mise sur pied de ce projet de changement constitutionnel, avec des

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