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Les élections législatives prévues le 16 février 2020, était le sujet de la rencontre mercredi dernier entre la CENI et les émissaires du NDI et de la fondation Koffi Annan. Sur les différentes inquiétudes soulevées lors des débats, la CENI indique qu’avoir répondu aux préoccupations de la délégation.

Selon l’ancien président Béninois, Nicéphor Sogolo, la CENI est le centre de tous les problèmes électoraux. C’est pourquoi, « il va de soi qu’on soit là pour poser la question, si elle est aussi incompétente que ça, pour que cela arrive ? », s’est-il interrogé, tout indiquant, la mouvance et l’opposition ont donné leurs réponses, chacun dans son rôle. « Ils ont répondu à la plupart des interrogations posées. Nous souhaitons qu’il y ait des efforts indispensables, mais il faudrait que nous soyons mieux informés, pour que nous puissions informer l’opinion, parce que ce sont des questions politiques très sensibles. Il faut qu’ils puissent nous donner des éléments, pour qu’en retour, on les relaie et pour situer les responsabilités », a souligné M. Sogolo.

Pour le président de la CENI, la rencontre avec les émissaires est satisfaisante. « Nous avons pu répondre à leurs préoccupations, ils sont répartis satisfaits. Ils ont promis de revenir encore pour voir quelles sont les solutions qu’ils ont et pour leur faire des sollicitations à notre niveau, entre Africains », a déclaré Me Salif Kébé.

Par ailleurs, il ajoute les différentes difficultés soulevées dans le processus électoral n’est pas surprenantes. « Pour l’enrôlement, il faut savoir qu’une opération de révision va toujours avec des solutions. L’existence de la CENI, c’est pour résoudre ces problèmes. Nous n’avons pas été surpris par l’ampleur des problèmes, mais ils sont en train de disparaître », martèle le président de la CENI.

Sadjo Diallo