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Société

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Une femme enceinte meurt à Kankan à Cause de 700 mille, la nuit du Samedi, à Dimanche à l’hôpital régional de Kankan. Un Acte qui suscité un tollé au sein de l’opinion nationale et internationale. Aissatou Cherif Baldé, Journaliste et Présidente de l’ONG ‘’Guinée Solidarité’’ sise à Hambourg (Allemagne) n’est pas resté indifférente, elle dénonce des comportements inhumains à travers sa chronique. Lisez.  

 La Guinée, ce pays des gouvernants aux cœurs lâches et aux comportements indignes.

Les motifs d'indignation ne manquent plus dans ce pays, car nous ne sommes gouvernés que par des personnes aux cœurs insensibles.

Sinon comment peut-on expliquer que des médecins qui ont prêté serment pour sauver des vies, laissent quand même une femme enceinte mourir par manque d’argent ?

 Et c'est ce qui s'est réellement passé le matin de ce dimanche 16.05.21 à Kankan dans l'hôpital régional de la plus grande ville de la Guinée.

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La manifestation de soutien au journaliste Amadou Djouldé Diallo qui était prévue à Kaloum ce mercredi 31 mars 2021, a été interdite à la dernière minute par les autorités de la mairie de Kaloum. A cet effet le collectif de soutien à Djouldé a été à la maison de la presse ce mercredi, 31 mars pour une manifestation virtuelle afin d’exiger la libération du journaliste et le respect de la loi L002. Après les slogans : « libérer Amadou Djouldé, nous exigeons le respect de la loi sur la liberté de la presse… » Une déclaration a été lue par le coordinateur du collectif. Sayon Camara.  

Déclaration

Arrêté le 27 février 2021, sans convocation préalable, le journaliste et historien Amadou Diouldé Diallo a été inculpé, le 1er mars 2021 pour « offense au chef de l’Etat et diffamation » et placé sous mandat de dépôt. Il est, depuis cette date, détenu à la Maison centrale de Conakry.

L’article 10 de la Constitution dispose que « tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression ». La loi L002 portant sur la liberté de la presse a dépénalisé les délits de presse en Guinée. L’objectif de cette loi est d’éviter qu’un citoyen ne soit arrêté et mis en prison pour des délits commis par voie de presse.

Avec cette loi, la Guinée a fait des avancées significatives en matière de liberté d’expression jusqu’à maintenant, malgré les différentes tentatives de la contourner pour faire arrêter des journalistes afin de les intimider et les pousser à l’autocensure, qui est pire que la censure elle-même.

Nous nous retrouvons devant une situation inédite, celle de veiller à l’application fidèle et

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DECLARTION

Suite aux évènements malheureux survenues à Macenta, au sujet de l’inauguration de la résidence du patriarche du 26 au 27 décembre 2020 ayant entrainé vingt-deux (22) morts de nombreux blessés ainsi que des dégâts matériels importants, nous, nous jeunes Lomas de Macenta résident à Conakry, regrettons de tels actes de barbaries. Nous adressons nos condoléances les plus attristées aux familles endeuillées et souhaitons un rétablissement rapide aux blessés.

Cependant, nous contestons un paradoxe à Macenta : une communauté qui revendique les statuts de fondateur d’une ville où ses arrières parents ont été accueillis avec hospitalité.

(lire le rapport final du PNUD sur l’Etude diagnostique des conflits récurrents en Guinée forestière, 2016, à la page 45 et 71 disponible sur le net). Or, la chefferie traditionnelle ne s’acquiert pas par les armes, ni par l’intelligence ou les moyens ; « elle se transmet par héritage de père au frères et fils ou à défaut aux neveux » (lire les ouvrages de Jacques GERMAIN, Peuples de la Forêt publié en 1984, et Domi Jean Marie DORE, La résistance contre l’occupation coloniale en Région Forestière publié en 2009).

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