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Politique

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« Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années ». Cette citation du dramaturge français, Pierre Corneille, semble bien illustrer le parcours du député Souleymane Keita. De Bounouma où il a grandi à l’Hémicycle, où il siège aujourd’hui, l’on note un périple qui mérite l’attention, surtout celle de la jeunesse guinéenne. De ses études primaires qui coïncident au début de son penchant pour Alpha Condé à la Présidence de la République, en passant par l’enseignement, mais aussi à la boulangerie de Makia Touré, celui qui se révèle l’un des jeunes acteurs politiques les plus médiatisés du pays, nous ouvre son cœur.

Né le 25 avril 1981 à N’Zérékoré, région située à plus de 800 Km au sud de la capitale Conakry, très tôt le jeune Keita sera adopté par son oncle paternel, chez qui à Bounouma, il fera ses études primaires et secondaires. « Mon oncle, il est tout pour moi. A Bounouma, une sous-préfecture située à 10 Km de N’Zérékoré, j’ai fait mes études primaires et secondaires chez lui, avant d’être admis au Brevet d’étude de premier cycle au lycée Alpha Yaya Diallo de N’zérékoré où j’ai passé le Bac 1, le Bac 2 et le Concours aussi pour me retrouver enfin à Conakry à l’Université Gamal Abdel Nasser de Conakry », nous confie sourire au lèvre le 3ème secrétaire parlementaire de la 9ème législature.

Inscrit au département de philosophie où il est sorti avec un diplôme de maitrise, après avoir soutenu un thème de mémoire avec mention excellent, Souleymane Keita se lancera dans l'enseignement pour subvenir à ses besoins, mais aussi exercer un métier qu’il aime.

Un crochet à la boulangerie de Makia Touré

« Ce fut une belle expérience. Imaginez-vous, pour quelqu’un qui quitte Bounouma et qui se retrouve à Conakry sans tuteur, c’est beaucoup d’acrobaties. Mais mon métier de boulanger a facilité mon insertion. Mon oncle paternel chez qui j’ai grandi était boulangé avec lui, j’ai appris la boulangerie. Donc dès que je suis arrivé à Conakry à peine un mois, j’étais déjà employé dans une boulangerie à  MAKIA TOURE, j’y ai travaillé deux ans et je gagnais de l’argent. Alors que le pécule était à 60 mille GNF, chaque nuit

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Cabinet du Bâtonnier

DU BARREAU DE GUINEE RELATIF A LA

FALSIFICATION DE « LA CONSTITUTION »

COMMUNIQUE

Le Conseil de l'Ordre des Avocats de Guinée a tenu ce vendredi 29 Mai 2020 une réunion extraordinaire pour examiner la situation de l'altération frauduleuse du projet de constitution soumis au référendum du 22 Mars 2020.

Depuis plus d'un an, des partis politiques et des organisations de la société civile se sont investis pour empêcher la tenue du référendum en vue de l'adoption d'une nouvelle Constitution.

 
 

Malgré la multiplication des manifestations de rues réprimées dans le sang, le gouvernement a maintenu sa ferme volonté de doter le pays d'une nouvelle Constitution.

Dans la foulée, des acteurs politiques et de la société civile opposés à l'idée de l'adoption d'une nouvelle Constitution ont été violentés, arrêtés, emprisonnés, et au pire des cas, tués à l'occasion des manifestations.

Courant janvier 2020, soit deux mois avant le référendum, le Ministre de la Justice, Garde des sceaux, a curieusement publié au journal officiel de la République le projet de constitution qu'il a soigneusement cacheté et paraphé. C'est donc ce document qui a été largement diffusé et vulgarisé par les partisans de la nouvelle constitution.

Après plusieurs reports, le gouvernement a fini par organiser, le 22 Mars 2020, le double scrutin législatif et référendaire. Cet événement qui a été émaillé par des incidents majeurs a provoqué matériels importants notamment des destructions d'édifices privés et publics.

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Souleymane Keita membre du bureau politique du rpg répondait aux questions des journalistes par téléphone ce vendredi, 29 mai 2020, sur la crédibilité de l’assemblée nationale auprès de la communauté internationale et de la CEDEAO après le double scrutin du 22 mars dernier, mais aussi sur l’objet de la falsification de la nouvelle constitution, le député s’est battu bac et ongles pour donner des réponses concluantes face à ce sujet brulant qui fait parler de la Guinée au niveau internationale. Lisez    

M. Keita comment ça se passe actuelle au parlement quels sont les travaux en cours, quelle est ambiancé ?

Ça se passe plutôt bien, j’avoue que depuis notre installation, on a essayé d’entamer une véritable immersion dans l’institution, ça nous a permis non seulement de mettre en place ce bureau exécutif dont je suis membre donc un des secrétaires parlementaires, mais également les 13 commissions permanentes et une commission spéciale mais aussi les 13 groupes parlementaires. Aujourd’hui les travaux ont pratiquement commencé, ce qui est intéressant là-dedans, c’est que vous avez beaucoup de hauts cadres guinéens, beaucoup de personnalités Guinéennes disposants des compétences techniques, académiques et qui ont une connaissance réelle de l’histoire politique de la Guinée et tout cela me rassure que nous allons avoir une législature qui répondra aux attentes des Guinéens. 

On a vu que l’assemblée se cherche une légitimité en tout cas au niveau international avec la réception de l’ambassadeur de l’Egypte, cette audience avec le président Amadou Damaro Camara. Est-ce qu’on peut dire que vous êtes dans cette offensive aujourd’hui de faire en sorte que le parlement soit reconnu par tout le monde.

Nous, nous pensons que la question de reconnaissance est fonction du respect des lois qui régissent l’organisation des élections dans notre pays et cela a été fait. C’est vrai ! l’opposition radicale n’a pas voulu participer à ces élections, ce que nous déplorons parce que de toute façon, elle a sa place dans le débat politique nationale, mais la question de la crédibilité et de la légitimité d’une élection dépend du respect de textes de lois et non la participation de tel ou tel parti politique.

Aujourd’hui les institutions aux niveaux internationales nous écrivent, l’Egypte était avec nous la semaine passée et puis il y a cette invitation du parlement mondiale de la conférence des

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