Assign modules on offcanvas module position to make them visible in the sidebar.
Les responsables du FNDC ont été libérés provisoirement jeudi dernier par la Cour d’Appel de Conakry. Deux responsables du parti au pouvoir apprécient cette décision. Il s’agit du président du groupe parlementaire RPG/AEC, Amadou Damaro Camara et Filan Traoré.
Pour le premier, qui a fait la prison à un moment de sa vie, « c’est une très bonne chose ».
« Je ne veux voir personne en prison, je n’aime pas la prison même une poule je ne veux la voir en prison, même à mon pire ennemi », souhaite Damaro Camara, alors que son compagnon de lutte
Add a commentLire la suite : Liberté provisoire pour les responsables du FNDC : Quand le RPG/AEC apprécie
COMMUNIQUE N°032
La lutte engagée par le FNDC depuis sa création le 3 avril 2019, vient de gagner sa première bataille décisive avec la libération des leaders du Mouvement injustement incarcérés pendant plus de quarante-cinq jours.
Le FNDC exige la libération immédiate et sans conditions de tous ceux qui sont encore injustement emprisonnés à travers le pays.
Malgré toute son importance, la libération de certains camarades de lutte n’est qu’une étape qui conduira à l’objectif final, celui d’empêcher le tripatouillage de notre Constitution.
Les grandioses manifestations organisées par le FNDC depuis le 14 octobre 2019 ont eu pour effet d’alerter la communauté nationale et internationale sur un projet de 3ème mandat en cours en Guinée.
Face à l’obstination du pouvoir à vouloir poursuivre son projet funeste de changement de la Constitution, le FNDC décide d’intensifier ses actions de mobilisation des citoyens pour dénoncer toutes les manœuvres visant à octroyer un troisième mandat au Président de la République.
Add a commentLire la suite : FNDC: inhumation vendredi, marche pacifique mardi 10 décembre (Déclaration)
La Cour d’Appel de Conakry a ordonné le jeudi 28 novembre, la mise en liberté provisoire des responsables du Front national pour la défense de la constitution (FNDC), dont son coordinateur national Abdouramane Sanoh.
Condamnés le 22 octobre dernier, à des peines allant de six mois à 5 ans de prison ferme, par les Tribunaux de première instance de Dixinn et de Mafanco, pour « actes et manœuvres pouvant entrainer des troubles à l'ordre public », ces prévenus seront à nouveau devant la barre le 5 décembre 2019.
Cette liberté provisoire a été obtenue qu’après que le ministère public ait répondu favorablement aux requêtes du collectif des avocats de la défense.
Quelques heures après sa libération, Sékou Koundouno a sur sa page facebook, réitéré son engagement au sein du Front.
Add a comment