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Politique

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Le Tribunal de première instance de Kaloum a rendu sa décision ce mardi, 17 septembre 2019, dans l’affaire du journaliste Mohamed Bangoura et de Fode Balde, responsable de la communication de l’UFR.  Tous deux poursuivis pour injures, diffamation, diffusion et mise à disposition des données de nature à troubler la sécurité publique ou à porter atteinte à la dignité humaine par le biais d’un système informatique, divulgation des fausses informations par le biais d’un système informatique et complicité.

Le TPI de Kaloum, statuant publiquement et contradictoirement après avoir requalifié les infractions en délits de presse, a condamné les deux hommes au paiement de 3

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Le dialogue social garantie par la Constitution est le socle du bon devenir de toute société. En témoigne le bon vivre ensemble dans les sociétés africaines. Venir dire ce que l’on pense quand on nous donne la possibilité d’avoir la voix au chapitre est d’une poigne élégante et citoyenne dans la participation au débat national, qui vaut mieux que de rester à se lamenter comme un enfant battu dans son petit coin et se recroqueviller dans son écrin.

La dialogue est à la démocratie ce qu’est la parole à l’homme. Le rejeter d’un revers de main sans voir de près ce qu’il s’y trempe  est un défi lancé à la quiétude et une menace invoquée à l’endroit de la paix sociale. La chaise vide ne garantit aucune compréhension ni aucun compromis dans nos divergences. Cependant, les oiseaux de mauvais augure ne peuvent planer au-dessus de nos têtes sans une interpellation de notre part et un rappel à leur endroit la limite de leur droit. Car le  risque de présager fumées et poussières par cette attitude de gamin gâté est à tout temps élevé.

La concertation appelée par le Premier Ministre Dr. Kassory FOFANA qui en a légitimement le « devoir » est une responsabilité assumée. Cette culture qui, nous sommes certains, sera une, d’un « franc-parler » sans équivoque se doit d’être pérennisée dans nos actes au quotidien. Notre apprentissage de la démocratie tient bon à ce rythme et marche comme sur des roulettes. Aux côtés du Premier Ministre, des hommes d’Etat comme Tibou KAMARA, pétri d’expériences, qui ne tarit de talents pour toutes les fois que le devoir lui a fait appel et qui ainsi eut le recul nécessaire et la projection obligatoire dans le rassemblement des élites africaines autour de l’essentiel, est l’excellent choix qui garantit forcément l’impartialité des consultations et la relance de ce dialogue qui nous est si cher et précieux.

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Mamadou Dian Baldé, journaliste et éditorialiste perçoit dans le récent discours du chef de l’État, une stratégie visant à se défausser sur son Premier ministre qui va jouer les « fusibles », dans la mise en œuvre du fameux projet de changement constitutionnel. Comme cela est enseigné dans les Lois du pouvoir. ‘’Ne jamais se salir les mains, tant qu’un tiers peut effectuer la besogne…’’

Talibé Barry : Bonjour Mamadou Dian. Le président Alpha Condé s’est finalement prononcé sur son projet de changement constitutionnel. Pour vous le chef de l’État, en fin stratège veut garder les « mains propres », en ayant recours au service de son Premier ministre ? 

Mamadou Dian Baldé : Pour ce qui est de la mise en œuvre du fameux projet de changement constitutionnel, le président de la République mise sur son Premier ministre pour faire le boulot à sa place. Dr Kassory Fofana désigné pour mener des consultations avec les différents courants de notre société va servir de fusible au chef de l’État, qui pourrait garder ainsi les « mains propres » en cas d’échec de ce saut vers l’inconnu. Le Premier ministre n’est certes pas à plaindre dans l’exécution de ce pensum. Lui  qui s’est dit déjà favorable à l’adoption d’une nouvelle constitution. Donc plus royaliste que le Roi.

C’est dire qu’il va remplir sa mission de consultations des institutions républicaines et autres partis politiques et syndicats, avec empressement. Même si à ce niveau le fait que certains acteurs politiques l’aient aussitôt récusé mette un bémol à cette annonce.

A propos toujours de cette sortie, certains observateurs trouvent que le  président n’est pas sorti de l’ambiguïté. Contrairement à ses zélateurs qui eux ont déjà annoncé les couleurs, le président pour aborder la délicate question de changement constitutionnel, a usé  d’un discours plutôt  bridé.

C’est ainsi qu’il reconnait que « la Guinée n’est plus la même avec l’éveil des consciences et toutes les mutations intervenues dans la société. Et qu’il est légitime alors, que chacun se demande où on va, comment aborder les enjeux et défis des temps nouveaux. »

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