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Écrit par Alpha Amadou DIALLO

Création : 6 avril 2023

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Un homme âgé d'une trentaine d'années est mort après être tombé du 5ème étage d'un immeuble à Sandervalia, dans le quartier de Kaloum, hier mercredi 5 avril. Selon Habib Attia, propriétaire de l'immeuble concerné, l'employé de son neveu a été surpris en train de voler dans la caisse. Le neveu a commencé à appeler la police et l'employé, paniqué, a tenté de s'échapper par la fenêtre grâce aux climatiseurs qui étaient installés sous les fenêtres. Malheureusement, l'un des climatiseurs s'est décroché de son support pourri, entraînant l'employé dans sa chute mortelle.

L'incident a provoqué la colère des jeunes du quartier qui ont saccagé et vandalisé l'immeuble. La police et la gendarmerie sont intervenues pour contenir la situation.

Habib Attia a tenu à clarifier les faits pour éviter les rumeurs et les versions erronées : "C'est un vol qui a tourné au drame. Le

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Écrit par Alpha Amadou DIALLO

Création : 4 avril 2023

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Des coupures d’électricité durant le ramadan, à Kankan, y ont provoqué des mouvements de protestation. Le fournisseur local assure pourtant avoir envoyé de l'équipement pour renforcer la desserte de la seconde ville du pays.

Kankan, la deuxième ville du pays, est le théâtre de mouvements de protestation depuis le week-end du 25-26 mars 2023. Les manifestants dénoncent le manque d'électricité dans la ville d'où est originaire le colonel Mamadi Doumbouya, actuel président de la transition.

La direction d'EDG, le fournisseur guinéen d'énergie, affirme avoir envoyé de l'équipement pour renforcer la desserte en électricité de Kankan. Mais selon les mécontents, les délestages continuent.

Deux pannes successives ont occasionné des coupures

Ce n'est pas la première fois que Kankan proteste contre les délestages. Le bastion électoral de l'ancien président Alpha Condé affiche les mêmes revendications depuis quelques

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Écrit par Alpha Amadou DIALLO

Création : 6 avril 2023

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Cette mission, ayant pour objectif principal d'identifier l'effectif réel des enseignants et de détecter d'éventuels cas de substitution, de doublons, de fictifs et d'abandon en vue de l'assainissement dudit fichier, a été menée dans toutes les trente-trois préfectures du pays.

Lors d'une conférence de presse tenue mardi dernier à la commune de Matoto, le secrétaire général du syndicat national d'éducation (SNE), Michel Pépé Balamou, a révélé que les résultats de la mission étaient inquiétants. Selon lui, certains enseignants contractuels communaux ont un faible niveau de formation académique et pédagogique, et sont majoritairement recrutés dans les centres villes au détriment des sous-préfectures et des districts.

Michel Pépé Balamou a également révélé que des enfants des administrateurs territoriaux et éducatifs étaient présents sur la liste des enseignants contractuels communaux en lieu et place des contractuels qui enseignent depuis 2018. Il a également souligné que des noms de femmes du secteur informel sans aucune formation adéquate étaient présents, et que des enseignants étaient en situation de classe alors que leurs noms ne figuraient pas sur la liste officielle des contractuels détenue par la mission de paie.

En outre, des cas de doublons, d'abandons et de fictifs ont été rencontrés, ainsi que des retraités qui ont été recyclés.

Le secrétaire général a déploré la présence massive d'enseignants sans aucune qualification requise dans l'enseignement préscolaire, ainsi que des classes multigrades (4ème, 5ème, 6ème années) tenues par un seul enseignant dans certains endroits, avec plusieurs matières enseignées par un seul professeur.

Pour remédier à cette situation, Michel Pépé Balamou a formulé plusieurs recommandations, notamment

: Payer les contractuels du secondaire omis des préfectures de Boké et Fria ; Payer les contractuels de la commune de Kassa

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Écrit par Alpha Amadou DIALLO

Création : 4 avril 2023

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Le recensement biométrique des enseignants est un sujet de préoccupation pour le Syndicat National des Enseignants (SNE), qui déplore les difficultés rencontrées pour obtenir la carte d'identité nationale biométrique.

Aboucar Guesto Camara, du SNE, a exprimé ses inquiétudes à ce sujet lors d'un entretien téléphonique ce samedi 1er avril. Selon lui, cette procédure a des répercussions négatives sur le travail des enseignants dans les écoles, et les difficultés pour obtenir la carte d'identité nationale biométrique sont particulièrement préoccupantes.

« Bien que le recensement biométrique des fonctionnaires se poursuive, on apprend que certains enseignants rencontrent d'énormes difficultés pour se faire recenser. En effet, actuellement, 70% des enseignants en Guinée ne sont pas recensés et ne possèdent pas la carte biométrique correspondante. Certains enseignants sont obligés d'abandonner leurs cours pour chercher à obtenir ce document, ce qui est très préjudiciable à leur travail », a-t-il explique

« Le SNE a toujours recommandé de permettre aux enseignants de bien enseigner sans pression. Le syndicat demande donc que les enseignants puissent obtenir ces différents documents pendant les vacances, et non en pleine année scolaire. Les promesses faites par le ministère de la Fonction publique, telles que la présence d'équipes sur le terrain et l'attribution d'ordinateurs dans

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