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Moi, Fodé Oussou Fofana, je suis jaloux de mon honneur, ma dignité et mon parcours personnel.
Je suis Fodé Oussou Fofana, Vice-président de l’UFDG et pharmacien de profession. J’ai un honneur, une dignité, une personnalité et une histoire personnelle à défendre.
Je ne suis le valet de personne et je ne changerai de convictions au gré du vent et des intérêts. Cette marque n’existe que pour des personnes de valeurs et de principes et cela fait partie de non identité.
J’aurai bien entendu voulu avoir des passes d’armes avec quelqu’un de ma trempe, qui a les mêmes honneurs et le même respect que moi, mais pas avec une toupie ou un parvenu, malheureusement.
J’ai une éducation et je suis un enfant de famille qui a eu comme héritage, le savoir vivre en société et qui ne querelle jamais avec le voisinage encore moins avec un membre de ma propre famille.
J’aurai bien aimé la confrontation avec un garçon viril pas avec quelqu’un qui vit chambre part avec sa femme et qui a finalement déménagé au salon par manque de responsabilité et d’autorité familiale. J’ai la qualité d’un bon père de famille et j’ai aussi le défaut de ne jamais rompre mes liens familiaux. Je ne coupe pas la parole à mes sœurs ou frères de sang pour une dispute autour d’un bien commun à toute la famille héritière de droit et non une propriété privée que je m’arroge cruellement.
En dix ans de combat politique, malgré toutes les offres faites, j’ai jamais été ce politique vil, qu’on débauche au prix d’un pain.
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Khalifa Kassama Diaby, ancien ministre de l’Unité nationale et de la Citoyenneté était l’invité de la radio espace Fm, dans son émission ‘’ les grandes Gueules’’. Dans cet entretien Gassama a dressé un tableau sombre de la situation sociopolitique du pays...
Bonjours M. le ministre. Au regard de tout ce qui se passe, les crises institutionnelles, les crises politiques, les crises électorales qui s’enchainent et mêmes des crises sociales qui viennent de se greffer à cette situation, est-ce que vous avez l’impression d’avoir été écouté ?
« Je crois que je n’ai pas la prétention de m’estimer suffisamment important pour savoir si je dois être écouté ou pas, mais les Guinéens devraient eux être écoutés. Il suffit d’y prêter attention. Je voudrais dire que je suis triste pour ce pays. Je veux parler d’humanité, une vingtaine de nos concitoyens ont été assassinés dans ce pays.
Et pendant que ces corps étaient chauds, on assistait encore dans le pays et à travers tous les canaux de communications de façon indécente et honteuse des polémiques futiles. Alors je m’interroge, ce pays a-t-il perdu son humanité ? Ce pays a-t-il encore de l’honneur et de la dignité à défendre ou alors est-il plus important d’appartenir à un camp politique, de défendre une position politique, que défendre l’honneur et la dignité de ce pays ? Et par conséquent l’honneur et la dignité des filles et des fils de ce pays ?
Ce qui nous caractérise, c’est notre humanité. Tout ce que nous faisons aujourd’hui est censé être fait pour garantir à chaque Guinée et chaque guinéenne la possibilité de voir son honneur et sa dignité préservé, et ce n’est plus le cas, ce n’est pas le cas et c’est triste pour ce pays. Plus d’empathie, plus de fraternité, plus d’humanité.
En fait il faut faire très attention, je crois que de très nombreux Guinéens de toute part, on a décidé de renoncer à leur devoir citoyen pour abandonner ce pays entre les
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A trois semaines de la tenue des élections législatives, la guerre des affiches fait rage surtout dans les fiefs de l’opposition. Des tensions ont été notées dans les villes de N’Zérékoré, de Boké à l’intérieur du pays, à Hamdallaye II, secteur 5, situé en haute banlieue de Conakry, quelques minutes après l’affichage des listes. Ces dernières ont été déchirées et brûlées par des individus supposés appartenir à l'opposition. Sous l’anonymat, un membre de la Commission administrative d’enrôlement et de révision des listes électorales (CAERLE) de cette zone, déplore l’acte.
« Hier, on nous a appelé au niveau de la Commission électorale communale indépendante (CECI) de Ratoma pour nous expliquer comment l’affichage des listes devait se faire et nous orienter vers les chefs de quartiers pour les récupérer. Avec certains collègues de la CAERLE, nous les avons affichées à Hamdallaye II, dans le secteur 5, qu’on appelle aujourd’hui secteur Oumar Barry. Et quelques minutes après, on nous appelle pour nous dire qu’on a déchiré les listes. Lorsqu’on est venu constater les faits, on a failli nous lapider aussi », confie notre interlocuteur angoissé, soulignant que « ce sont les jeunes du quartier qui ont procédé à cet acte déplorable ».
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