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Les dernières manifestations du Front national pour la défense de la constitution (FNDC) ont été peu suivies contrairement aux premières. A suivre l’évolution de cette situation, c’est à se demander si les opposants d’une nouvelle constitution sont affaiblis ou manque de stratégie.
Le moment est crucial, à trois semaines du 1er mars, date prévue pour l’organisation du referendum et des élections législatives. On dirait que la force du front se détériore, alors que le chef de l’Etat Alpha Condé veut coute que coute mettre en exécution son intention de doter la Guinée d’une nouvelle constitution. Nonobstant les manifestations et marches les plus mobilisatrices de ses opposants, Alpha Condé rempile.
Cette situation inquiète les adversaires, du régime Condé. La sortie du député Ben Youssouf Keita lors de l’assemblée générale hebdomadaire de l’UFDG samedi dernier, confirme bien cette thèse. Selon lui, si les élections se tiennent le 1er mars ce serait « finis pour l’UFDG ». C’est pourquoi lance-t-il aux militants du principal parti d’opposition de se mettre en ordre de bataille. «Nous devons nous mettre sur pied de guerre. Il ne faut pas laisser le travail aux
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La commission électorale nationale indépendante (CENI), a présenté, ce jeudi, à Conakry, les statistiques du dernier récemment, qui s’élève à 7 millions 764 mille 130 électeurs.
« Après avoir extirpé 58 885 présumés mineurs, radié 3 538 515 doublons et également radié plus de 164 000 électeurs décédés, le fichier électoral guinéen contient désormais 7 millions 764 mille 130 électeurs », a indiqué Djenabou Touré, responsable du département fichier électoral au cours d’une conférence de presse.
« Le taux de progression des électeurs, par régions administratives se présente comme suit : Boké : 19,91%, Conakry : 18,06%, Faranah : 22,08%, Kankan : 35,09%, Kindia : 22,38%, Labé : 18,65%, Mamou : 17,52% et N’Zérékoré : 16,83% », a listé Mme Touré tout en faisant savoir que le nombre total des bureaux de vote est de 19.009.
A moins de trois semaines des élections législatives et du referendum, l’installation en charge des élections s’active sur le terrain, alors que des partis
Add a commentL’appel à la reprise de la résistance après la trêve observée par le FNDC a été largement suivi dans plusieurs localités du pays. La détermination du peuple de Guinée à empêcher le coup d’État constitutionnel demeure ferme face à la répression et aux arrestations arbitraires.
Le FNDC félicite le peuple de Guinée et plus particulièrement les populations de Conakry mais également celles de Boké, Boffa, Coyah, Dubreka, Forecariah, Kolabounyi, Kindia, Fria, Télémilé qui ont suivi les consignes de manifestation.
La violence étant le seul moyen pour le régime de M. Alpha Condé d’imposer son projet de troisième mandat en dépit du rejet catégorique de l’écrasante majorité du peuple, les forces de défense et de sécurité ont violemment réprimé les manifestations notamment à Conakry et à Coyah.
Le FNDC condamne la répression dans le sang des manifestations à Wanindara et celles des femmes à Matoto et à Kaloum. Pour la journée de ce mercredi 12 février, nous avons enregistré 15 blessés dont un par balle et 14 par projectiles. notamment la lance pierre utilisée par les services de sécurité. Plus de quinze (15) personnes ont été arrêtées à Conakry et à Coyah.
Nous condamnons fermement cette énième répression des forces de défense et de sécurité qui continuent de tirer à balle réelle sur les citoyens opposés à un projet inopportun et illégal de changement de constitution visant à maintenir un clan mafieux au pouvoir.
Le FNDC est plus que jamais déterminé à poursuivre le combat pour défaire ce régime d’arrivistes qui s’oppose à l’alternance démocratique en Guinée.
Add a commentLe Réseau-CoJeLPaiD après des entretiens privés directs et indirects avec de milliers de compatriotes de toutes les catégories socioprofessionnelles aussi bien dans le pays qu’au niveau de la diaspora, a tiré la conclusion que tous et toutes sont dans un embarra absolu quant à la manière de sortir de cette crise politico-électorale, dont les positions de part et d’autres tiennent beaucoup plus à l’orgueil, à la désinformation et la peur de voir triompher l’adversaire au risque du retour du bâton de règlement de compte.
S’il faut reconnaitre qu’il y a certainement de bonnes volontés, engagées dans le combat pour le triomphe et l’encrage de la démocratie dans l’intérêt de la nation, il est indéniable que ces volontés sont minoritaires dans le combat et sont prises en otage par les branches extrémistes et clientélistes devenues les locomotives de part et d’autres avec des agendas particuliers dans une parfaite complémentarité d’approches.
Le réseau COJELPAID est convaincu que ces bonnes volontés qui mènent le combat sont à aider à s’affranchir du piège et du chantage, en allant à la recherche d’une solution qui éviterait davantage de désolation, de perte en vies humaines et en biens matériels, par le dialogue et la justice.
Que faire de la bonne volonté de trouver solution de la communauté internationale par endroit ? Que dire ou comprendre parfois de ses appels controversés qui ont tendance à renforcer les orgueils, alors que des foyers ou risques de tensions sans solution avec de graves violations des droits humains sont enregistrées de par tous dans la sous-région et dans le monde ?
Pourquoi refuser d’ouvrir son cœur et ses volontés aux nombreuses bonnes volontés, comme les deux (2) respectueux religieux le Grand Imam de la Mosquée Fayçal et Monseigneur Vincent Coulibaly, qui ne cherchent qu’à aider à trouver solution aux problèmes posés ? Pourquoi dénaturer ou diffamer ces bonnes volontés par ignorance ou dans le seul but de mettre une barrière entre elles et
Add a commentPrésent à la traditionnelle assemblée générale du RPG/AEC le 08 février dernier, Sory Sow a invité les militants du parti au pouvoir à proscrire la violence.
« Ne cédez pas et ne répondez pas à la provocation. Ne faites pas de la violence et n’agressez personne. Vous devez savoir ce que vous voulez et comment l’obtenir. Le 1er mars, on ira chercher ce qu’on veut », a-t-il déclaré dans son allocution.
Poursuivant, il souligne que : « la seule arme qui reste à la classe politique actuelle, c’est la pagaille, le chaos et la provocation ».
Cette sortie de ce proche du Premier ministre Kassory Fofana, intervient au moment où le Front national pour la défense de la Constitution (FNDC) appelle
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