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Politique

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Lors de l’assemblée générale hebdomadaire du RPG/AEC, le secrétaire permanent du parti au clashe une nouvelle fois les acteurs politiques qui ont décidé de boycotter les élections du 1er mars prochain. Selon Dr Sékou Condé, ce boycott signifie pour lui « retraite anticipée dans la politique guinéenne».

« La voie est libre pour le RPG arc-en-ciel jusqu’en 2026. Parce qu’il y a certains Guinéens qui ont choisi de prendre leur retraite anticipée dans la politique guinéenne », entonne Dr Condé, faisant allusion aux partis politiques qui ont décidé de ne pas participer aux scrutins prévus le 1er Mars prochain.

« Et tant pis pour eux, nous nous allons partir aux élections et au referendum », ajoute le secrétaire permanent du RPG/AEC, à ses côtés Patrice Seny Camara.

Ce dernier, dans la même lancée, maniant langues française et soussou, règle ses comptes aux opposants. « Dieu les a enlevés parmi nous. Donc la guerre qu’ils veulent, laissez entre eux et le gouvernement parce qu’ils pensent qu’il n y’a pas d’Etat en Guinée. Alors que celui qu’Alpha Condé a mis comme Premier ministre, tout le monde sait que c’est Kass Kass, laissez entre eux. Il va les arranger, parce qu’ils se connaissent », martèle M. Camara, avant

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Dans une déclaration rendue public ce lundi, le président du Groupe organisé des Hommes d’affaires (GOHA) exprime sa compassion et son regret suite à la récente décision du Gouvernement guinéen de fermer les frontières terrestres au trafic commercial.

« C’est une première dans notre pays   et une grande déception pour l’ensemble des opérateurs économiques », souligne d’entrée Cherif Abdallah.

Cette mesure du gouvernement au motif de risque terroriste et introduction d’armes, prise la semaine dernière est « illégale au regard des Conventions de la CEDEAO », selon le président du GOHA.

« Et puis des pays qui sont directement confrontés à cette situation n’ont pas jugé nécessaire de procéder à cette fermeture. C’est le cas du Mali, du Niger, du Burkina, du Nigéria, de la Côte d’Ivoire, du Bénin etc…», souligne-t-il, tout en précisant que « non seulement il n’y a pas péril en la demeure, mais encore une telle décision devait requérir l’avis préalable des organisations faîtière et institutions supervisant les activités commerciales ».

Parlant des conséquences de cette décision gouvernementale, Abdallah Cherif martèle que les pénuries qui vont s’en suivre, vont provoquer une hausse des prix, une baisse des activités économiques sans compter les pertes par détérioration et les pertes en chaîne de revenus.

« Toute chose qui va entraîner accroissement de la pauvreté. Le GOHA ne trouve pas le bien-fondé de cette décision. C’est pourquoi il condamné avec la

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AG/UFR : Sidya depuis Abidjan appel à ses militants de se préparer aux manifestations avenir.

Ce samedi, 08 février 2020 l’assemblée générale de l’union des forces républicaines (UFR), les interventions étaient beaucoup plus axées sur les rumeurs qui circulent sur les réseaux sociaux et mêmes dans certains médias de la place, des rimeurs sur l’Etat de santé du président Sidya Touré aurait eu un malaise à Abidjan, le président Ouattara l’a rendu visite, et par conséquent, l’assemblée général de ce samedi n’aura pas lieu.

De ce fait bon nombre de militants n’étaient au rendez-vous, le vice-président du parti Bakary Goyo Zoumanigui, à la demande de certains membres du bureau politique et pour rassurer les militants a fait intervenir Sidya Touré par appel téléphonique. Depuis Abidjan où il est toujours en séjour, le président de l’UFR a communié avec ses militants et passé des messages.

« N’écoutez pas ces radio-là, de toutes les façons vous avez compris que la politique en Guinée c’est nous, tour va bien hein ! dire que le président Ouattara est venu me voir, ça c’est tout le temps, moi je ne viens ici sans aller le saluer (le président Ouattara ndlr). Cette fois-ci, il allait à Addis-Abeba, il dit qu’il vient me voir avant d’y aller, ça c’est normal, c’est entre frère, maintenant si les gens prennent ça pour autres choses, ne les écoutez pas.

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DéclarationN°001/FNDC/2020

 Depuis plusieurs mois, le peuple de Guinée manifeste pour sa liberté et contre le projet d’Alpha Condé de se maintenir à vie au pouvoir.

Le FNDC avait accepté une trêve, pour tenter de résoudre la crise profonde que traverse notre pays. Mais de son côté, Alpha Condé a délibérément saboté les démarches de paix entreprises par les religieux de toutes confessions confondues.

Cette trêve observée à la demande des leaders de la société civile est la preuve manifeste que le FNDC ne recherche que la stabilité, la paix et la sécurité dans notre chère Guinée. Notre pays a trop souffert. Il a déjà été éprouvé par les dictatures successives, la corruption, le détournement des richesses de notre sous-sol, la pauvreté, le chômage d’une jeunesse sacrifiée qui n’a plus d’autre choix que d’aller mourir en tentant de traverser la Méditerranée. Et aujourd’hui, nous faisons face à un mal pire encore, un tyran Alpha Condé qui tente coûte-que-coûte de se maintenir au pouvoir, quitte à noyer son propre pays dans le sang.

Une fois de plus, Alpha Condé a montré qu’il méprisait son peuple, son peuple qu’il n’a cessé de battre, de tuer, d’humilier depuis tous ces mois et à qui il a infligé aujourd’hui un camoufle en refusant de rencontrer les religieux, qui sont pourtant unanimement respectés par le peuple guinéen.

Au lieu de faire amende honorable et de demander pardon à ses compatriotes, Alpha Condé tente une fuite en avant. Il a pris un décret repoussant la date des élections législatives au 1er mars. Car ce 1er mars, il organisera de manière simultanée un référendum dont le résultat sera truqué et qui lui permettra de se maintenir au pouvoir, contre l’aspiration de son propre peuple.

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Dans un décret rendu public le lundi dernier, le président de la République annonce le report des élections législatives prévues initialement le 16 février, au 1er Mars 2020. Pour le Parti de l’espoir et du développement national (PEDN), cette décision est un « non évènement ».

« Ça ne nous fait ni chaud ni froid », réagit d’entrée Faya François Brouno. Pour le chargé de communication du parti de Lansana Kouyaté, il y a des questions pré-judiciaires qui restent encore entières. C’est pourquoi, indique-t-il le report sans régler la question du fichier, « maintiendra le PEDN dans le statuquo ». Mais aussi, « le report sans clarifier la question du référendum caché derrière et d'ailleurs qui se confirme avec l'ordonnance qui est passée avant le décret du report, confirme que le PEDN reste dans le statuquo. Pour nous la situation reste la même ».

 A en croire Faya Brouno, les causes de ce report s’explique par le retard dans la distribution des cartes électeurs et un éventuel couplage des élections législatives et du référendum.

 « Ils ont reporté pour eux-mêmes ceux qui sont déjà dans le processus. Ils ont reporté à cause du délai légal de distribution des cartes électeurs et les discussions dans leur couloir là-bas pour coupler les élections avec le référendum », a-t- il souligné, tout en rappelant les causes qui ont motivées l’opposition plurielle à boycotter ces élections législatives.

« Nous sommes dans cette position parce qu'il y a des questions fondamentales qui restent entière notamment le toilettage du fichier électoral. Il faut que le récemment soit repris pour que les Guinéens qui ont ce droit puissent se faire enrôler dans ce fichier électoral. Deuxièmement, il y a des clarifications à apporter, on ne veut pas de référendum. On ne veut pas qu'on nous dilue dans un processus référendaire à travers une échéance électorale ordinaire classique », martèle Faya Bourouno.

Parlant de la trêve optée par le Front national pour la défense de la Constitution (FNDC) dans le cadre des manifestations, le chargé de communication du PEDN l’explique par « aux valeurs et leaders religieux ». « Nous sommes dans une stratégie globale au sein du FNDC dont certaines sont en train d'être mises en œuvre.

 Pour l'instant, c'est la trêve à la suite de la médiation menée par les religieux de notre pays. Nous sommes cas même des gens républicains, nous respectons les valeurs de notre pays et nous savons aussi que la culture religieuse doit nous influencer dans nos actions politiques. C'est pourquoi on a accepté ce plaidoyer et les jours suivants on essayera de voir la stratégie pour devenir de mieux en mieux efficace sur le terrain », confie M. Bourouno.

« Nous appelons les Guinéens à la mobilisation et de rester à l'écoute. Les prochains jours, on leur déclinera les calendriers qui s'imposeront », a-t- il renchérit.

Moussa Thiam

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