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Politique

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Nabi Idrissa Diallo membre de la fédération UFDG de Dakar, Joint au téléphone par nos confrères de Lynx Fm dans l’émission ‘’œil de Lynx’’ ce jeudi, 06 décembre 2019, dans cet entretien il a dénoncé de lacunes et autres problèmes liés au processus en cours d’enrôlement des électeurs à l’ambassade de Guinée en à Dakar qui a conduit à de chaude polémique entre l’ambassade et certains citoyens guinéens venus pour se faire enrôler. Interview.

Bonjour Mr Diallo ! Pour quoi aujourd’hui des citoyens guinéens se sont attaqués aux agents de CEAMI de Dakar ?

Ce n’est pas les agents de la CEAMI qui ont été attaqués, les problèmes ont eu lieu à l’Ambassade de la Guinée à Dakar, c’était lié du fait que le processus de recensement de guinéens de Sénégal ont beaucoup retardé, et il y a beaucoup de petit problèmes qui ont été créés par l’Ambassade, notamment au niveau de document qui peuvent servir au recensement de Guinéens au niveau de Sénégal.

Il semblerait qu’il y ait une note qui serait venu du président de la CENI pour exiger que ne se recense que ceux qui ont un passeport guinéen et une carte consulaire en cour de validité, c’est ce qui exclut un grand nombre de nos compatriotes qui sont ici et qui ne peuvent pas se recenser et qui sont allés à

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Cette demande fait suite au retard du transport judiciaire. Par ailleurs, l'avocat des plaignants attend toujours que la cour donne suite à ses requêtes visant à faire comparaître Alpha Condé président de la Guinée et Mansour Kaba ancien ministre de l'urbanisme à titre de témoins dans cette affaire. 

Le 2 décembre 2019 

Instance N° ECW/CCJ/APP/25-/19

  A l’attention de Monsieur le Président de la Cour de justice de la CEDEAO

 OBJET : Demande de report d’audience en attendant la fin des mesures d’instruction

Monsieur le Président, Dans le cadre de l’instance qui oppose le Collectif des Victimes Kaporo Rails (CDK-2019) et la République de Guinée, nous avons saisi la Cour de justice de plusieurs demandes importantes. § Une demande de transport judiciaire ; § et deux citations de témoins dont les auditions sont nécessaires pour  permettre à la Cour de statuer en toute connaissance de cause. A ce jour, nous n’avons reçu aucune réponse de la Cour, alors que ces demandes font partie intégrante de l’instruction préalable aux débats contradictoires.

L’affaire n’étant pas en état d’être jugé, l’audience qui avait été fixée initialement au 8 novembre 2019 a été renvoyée, sur décision de la Cour, au 10 décembre 2019. Alors qu’il reste désormais 5 jours ouvrables, avant la date prévue pour les débats au fond, la Cour n’a effectué aucune des mesures d’instruction demandées.

Or, le transport judiciaire et la faculté d’auditionner des témoins constituent des éléments essentiels du droit à un procès équitables. Je rappelle à votre auguste Cour, qu’en application de l’article 4- (g) du Traité révisé de la CEDEAO : « le respect, la promotion et la protection des droits de l’homme, conformément aux dispositions de la Charte Africaine de Droits et des Peuples », s’imposent tant aux États membres, qu’aux Institutions de la Communauté.

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Le coordinateur du Front national pour la défense de la Constitution (FNDC) était au tribunal de Première instance de Manfanco mardi dernier, pour apporter son soutien aux militants de l’actuelle constitution. Malgré son passage à la maison centrale plus d’un mois, Abdourahmane Sanoh ne rempile pas.

Selon cet activiste de la société civile son combat va se poursuivre jusqu’à la victoire finale. « Rien, absolument rien, s’il plait à Dieu, ne va nous arriver par rapport à notre objectif de refuser la conspiration et le coup d’Etat constitutionnel que certains veulent imposer en République de Guinée », a-t-il déclaré.

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Les images d’enrôlement de mineurs de moins de 10 ans dans les Caerles, relevées dans les fiefs proches du RPG, sont de de notoriété publique. Elles ont largement été diffusées sur les réseaux sociaux ces derniers jours. Ces images sont choquantes et traduisent l’intention manifeste du pouvoir de remplir le fichier de mineurs dans le seul dessein d’assurer le troisième mandat soit par le referendum soit par les législatives.

 Le communiqué du Président de la CENI en date du 1er décembre 2019 a d’autant moins rassuré que nous avons assisté à l’intensification de ces pratiques frauduleuses depuis lors.Ce sont ces mêmes pratiques frauduleuses qui avaient permis au Président Alpha Condé de se faire réélire en 2015. L’enrôlement des mineurs que nous constatons dans la révision en cours est sans précédent de par son ampleur et son caractère discriminatoire.

 Ces pratiques sont de nature à affaiblir considérablement les fondements de l’Etat et constituent, avec la violence d’Etat, les principales armes du régime actuel pour se pérenniser. Ainsi, comme pour les précédentes élections, le pouvoir d’Alpha Condé prépare une mascarade électorale à l’aide d’un processus émaillé de nombreuses irrégularités dont entre autres :

L’enrôlement réduit à 25 jours alors que le code électoral prévoit 3 mois.
25 jours pour : enrôler ceux qui ont atteint l’âge légal de voter depuis 2015 (dernière date de la révision de la liste électorale) ; radier tous les électeurs décédés et ceux qui sont indûment enregistrés ; et procéder, à titre exceptionnel pour cette révision, au ré-enrôlement des 6 042 643 électeurs qui sont déjà dans la base de données, conformément à la recommandation principale du rapport d’audit du

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Le processus de révision des listes électorales entamé le 23 novembre dernier fait couler assez de salives dans la Cité. Si le parti au pouvoir ne trouve pas trop à redire, l’UFDG (principal parti d’opposition), quant à elle menace de ne pas aller aux élections législatives prévues le 16 février prochain, si toutefois le fichier n’est pas assaini proprement.

Recensement de mineurs, manque de matériels dans plusieurs endroits, sont entre autres des incohérences que dénoncent quotidiennement les acteurs politiques.

« Aujourd’hui, on se rend compte qu’avec cette importante phase des élections qui est le recensement, il y a des problèmes partout. Ils ont commencé encore à enrôler des enfants, nous avons des preuves. Il n’y a pas de récépissés dans tout le pays. Par endroits, c’est impossible pour les citoyens de se faire enrôler. Presque tous les appareils sont en panne, il y a des difficultés dans tout le pays », déplore Fodé Bocar Marégua, député uninominal de Diguiraye, qui accuse le parti au pouvoir et la CENI de vouloir entretenir une « mascarade ».

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