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Politique

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Lors de l’assemblée générale de l’Union des Forces Républicaines (UFR) de ce samedi, 14 décembre 2019, la suspension par l’opposition de sa participation au cadre de dialogue politique était au centre des discours.

Le vice-président, El hadj Boubacar Barry, a expliqué aux militants les raisons qui ont motivé cette décision prise par l’UFR et l’UFDG, seules représentantes de l’opposition à ce dialogue.

«On doit enrôler les nouveaux électeurs qui ne le sont pas depuis 5 ans, nettoyer le fichier de ceux qui sont décédés. Paradoxalement, ils n’ont consacré que 25 jours pour faire le travail. Mais comme vous l’avez su, à partir du moment où on s’est rendu compte qu’il n’y a aucune volonté d’aller de l’avant, ou il n’y a aucune bonne foi pour les éléments les plus basiques, c’est-à-dire l’information… La CENI ne veut pas fournir ces informations, le ministre de l’Administration du Territoire n’est pas disposé non plus à mettre en place les conseils de quartier et de districts», a déploré le vice-président de l’UFR.

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Une mission d’observation demande l’installation des chefs de quartier avant (Rapport)

 1 MISSION D’OBSERVATION ELECTORALE DE LA SOCIETE CIVILE GUINEENNE :

« WON MA ELECTION » RAPPORT PRELIMINAIRE : ELECTIONS LEGISLATIVES

 Phase 1 : ETABLISSEMENT ET REVISION A TITRE EXCEPTIONNEL DU FICHIER ELECTORAL v CONTEXTE : L’instauration de la démocratie est d’une importance capitale, parce que la démocratie, contrairement à l’autocratie, cultive la stabilité politique en créant un consensus entre les différents intérêts politiques. En outre, le régime politique, de manière générale, détermine le niveau des secteurs d’activités publiques que sont l’éducation, la santé publique, la sécurité nationale etc.

 En fait, il est établi que la défaillance de la démocratie est la cause principale du sous-développement structurel qui sévit en Afrique sub-saharienne. La démocratie est un système sociopolitique ; elle fonctionne à partir des interactions de ses sous-systèmes, en tant qu’éléments structurellement articulés : la Constitution, le principe de la séparation des pouvoirs, la liberté de presse et d’opinion, le multipartisme, et la tenue d’élections libres, régulières et transparentes.

 Il y a aussi les acteurs qui animent la scène de la démocratie. Ce sont : la société civile, les syndicalistes, les partis politiques, les électeurs, etc. ; sans ces acteurs, la démocratie perd son centre et ses contours. C’est pourquoi la MISSION D’OBSERVATION ELECTORALE DE LA SOCIETE CIVILE GUINEE « WON MA ELECTION », consciente de ce rôle d’acteur clé que doit jouer la société civile dans la construction d’une démocratie forte, a adopté une posture proactive se manifestant par la formulation de propositions visant à garantir les conditions d’une élection crédible, inclusive et apaisée en inscrivant son action dans une dynamique d'anticipation et de prévention de potentiels conflits.

Depuis son amorce, le 23 décembre 1990, à la suite de l’adoption de la Loi fondamentale, le processus de démocratisation avance laborieusement en Guinée. Or, comme pour nombre de pays africains, la réussite de la démocratie est cruciale 2 pour la Guinée. En effet, le pays a connu ses premières élections multipartites le 19 décembre 1993.

Depuis lors, plusieurs élections y ont été organisées. Il ressort en toile de fond que tous ces rendez-vous électoraux ont un dénominateur commun qui se caractérise par le triptyque fraude, contestation et violence. Les élections locales du 4 février 2018, les dernières en date, n’ont pas échappé pas à la logique du triptyque mentionné et ont été émaillées de fraudes massives, de contestations de toutes parts, et de violences meurtrières. En matière électorale, c’est comme si le temps s’était arrêté pour la Guinée au XXème siècle.

 Entre la dépêche du 19 décembre 1993 et celle du 4 février 2018, c’est encore la même histoire. Pourtant, lorsque le vote des citoyens cesse d’être un outil d’expression et un moyen d’influer efficacement et démocratiquement sur l’avenir d’un pays, cela entraîne inéluctablement le pays concerné sur le chemin

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Le député Ousmane Gaoual Diallo, était l’invité de la radio lynx Fm ce vendredi, 13 décembre 2019, dans cet entretien, le député défend la cause de la participation de l’opposition pluraliste au dialogue inter-guinéen qui est l’objet de critique de moult observateurs, pour qui l’opposition ne devrait a attendu qu’il y ait des morts pour aller au dialogues, Ousmane Gaoual devant les questions de journalistes joue à la défensive. Interview.   

Bonjour Ousmane Gaoual Diallo : Ce dialogue inter-guinéen où il n’y a que le parti UFDG et UFR beaucoup d’observateurs pensent que vous y êtes pour y perdre du temps qu’est-ce que vous en dites ?

Ils pensent que c’est une perte du temps mais moi, je n’ai jamais eu espoir que ce pays peut avancer par le dialogue, en dix ans la gouvernance actuelle à prouver son aversion à permettre aux guinéens de régler leurs problèmes, leurs contradictions par le dialogue parce que ça, ça exige une responsabilité, ça exige de la hauteur, or malheureusement ce sont les extrémistes qui sont au commende du pouvoir ou tapis dans l’ombre de prise de décision qui poussent ce pays de plus en plus vers l’impasse, ça c’est quelque chose extrêmement dommageable pour notre pays et pour l’Afrique de l’Ouest.

Est-ce que vous êtes d’accord avec ceux qui pensent comme Faya Millimmono que l’UFDG et UFR ne devraient pas à aller à ce dialogue qui selon lui ressemblera à d’autres forcement…

Je pense que Dr Faya se prend trop au sérieux parce qu’il se permet de donner à tort et à travers des avis qui n’ont aucun intérêt pour nous. Ce n’est pas Dr Faya qui sait ce qui est bien ou pas pour l’ufdg et l’ufr je pense qu’il faut qu’il respecte les gens, il faut qu’il respect ses partenaires, ça c’est important qu’il le sache. Nous nous savons ce que nous faisons et nous savons suffisamment nos responsabilités et nous prenons suffisamment notre rôle pour faire la part de chose

A quoi servira ce dialogue où on parle des élections législatives où on parle la mise en place des chefs de quartiers et des districts alors que les processus

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Le Groupe national de contact et de dialogue pour la paix (GNC), une organisation composée d’anciens ministres, a désapprouvé, vendredi à Conakry, le débat sur la constitution.

Selon l’ancien ministre de la Justice, Pr Salifou Sylla, président dudit groupe, ce débat qui soupçonne le président Alpha Condé de vouloir changer la constitution pour briguer un troisième mandat, n’est fondé « ni sur un texte, ni sur un cadre de concertation ».

« Le groupe national de contact estime que les conditions du débat actuel sur la constitution est une violation de la loi fondamentale qui régit le fonctionnement de l’Etat jusqu’à nouvel ordre. Cette loi fondamentale doit être respectée de tous », a affirmé Pr Salifou Sylla au cours d’une conférence de presse.

A son avis, ce débat « paralyse l’administration, oppose les citoyens, perturbe l’économie nationale, exacerbe l’ethnocentrisme, corrompt nos transactions économiques et financiers avec l’étranger et occasionnent des pertes en vies humaines ».

« A défaut d’un arrêt pur et simple de ce débat qui n’est fondé ni sur un texte, ni sur un cadre de concertation, le Groupe National de Contact recommande de surseoir purement

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Les élections législatives prévues le 16 février 2020, était le sujet de la rencontre mercredi dernier entre la CENI et les émissaires du NDI et de la fondation Koffi Annan. Sur les différentes inquiétudes soulevées lors des débats, la CENI indique qu’avoir répondu aux préoccupations de la délégation.

Selon l’ancien président Béninois, Nicéphor Sogolo, la CENI est le centre de tous les problèmes électoraux. C’est pourquoi, « il va de soi qu’on soit là pour poser la question, si elle est aussi incompétente que ça, pour que cela arrive ? », s’est-il interrogé, tout indiquant, la mouvance et l’opposition ont donné leurs réponses, chacun dans son rôle. « Ils ont répondu à la plupart des interrogations posées. Nous souhaitons qu’il y ait des efforts indispensables, mais il faudrait que nous soyons mieux informés, pour que nous puissions informer l’opinion, parce que ce sont des questions politiques très sensibles. Il faut qu’ils puissent nous donner des éléments, pour qu’en retour, on les relaie et pour situer les responsabilités », a souligné M. Sogolo.

Pour le président de la CENI, la rencontre avec les émissaires est satisfaisante. « Nous avons pu répondre à leurs préoccupations, ils sont répartis satisfaits. Ils ont promis de revenir encore pour voir quelles sont les solutions qu’ils ont et pour leur faire des sollicitations à notre niveau, entre Africains », a déclaré Me Salif Kébé.

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