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La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a entamé l’installation de ses démembrements le lundi 26 août dernier. Depuis, la désignation des représentants des partis politiques dans ces organes, préoccupe la classe politique. Si au niveau du RPG/AEC tout semble à merveille, les adversaires du régime Condé, quant à eux ne parviennent pas à un consensus. Une situation qui met à nue les faiblesses de l’opposition à s’unir.
Chez la mouvance présidentielle, c’est M’Bany Sangaré qui annonce la cohésion entre son parti et ses alliés. Lors de l’assemblée générale hebdomadaire du RPG-arc-en-ciel, le samedi 24 août dernier, le secrétaire général de la jeunesse dudit parti indique que la commission électorale du RPG est en train de travailler. « Et, le RPG et ses alliés doivent être représentés suivant le quota défini par la CENI », a-t-il souligné avant d’insister sur les critères de choix de ses représentants. « Le choix doit être basé sur la loyauté, la rigueur et la détermination. Car, tout le processus électoral se joue au niveau des CEPI et des CESPI, parce que c’est eux qui désignent l’emplacement, la composition des bureaux de vote et autres. Il faut qu’on ait des cadres conséquents, rigoureux, vigilants, loyaux, pour que la façon par laquelle nous avons gagné en 2010, en 2015 et en 2018, que nous gagnions de la même façon. Les mêmes choix
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Lors de l’assemblée générale hebdomadaire du RPG, samedi dernier, au siège du RPG, le ministre de la Culture, des Sports et du Patrimoine historique, n’a pas fait dans la dentelle pour sabrer les opposants du régime Condé.
Selon Bantama Sow, les adversaires d’Alpha Condé sont « malades » et « ils vont continuer à tomber malades. S’ils ont le diabète ou autre chose, ça va s’accentuer et ceux qui sont cardiaques… mais Alpha Condé, c’est le président de l’Afrique. De la FEANF (Fédération des
Add a commentLe débat sur la « nouvelle constitution » fait rage dans notre pays. Le déni de liberté des uns envers les autres, les injures de certains face à d’autres, l’excommunication d’un groupe face à d’autres ... Que de déboires à mi-chemin de notre parcours par évaluation démocratique dans notre cheminement. La société guinéenne qui lutte parce qu’elle vit et en donne un sens ; et qui veut s’épurer de toute négativité de l’intention et de toute intelligence-sournoise bute quelques fois dans ses propres flicailles.
Le rôle policier-juge de chaque entité qui s’organise fait rater ainsi sa vocation d’organisation civile éducatrice des populations pour en être des consortiums de vendettas classiques et de règlements de compte dignes des adeptes du bûcher. Ces moments d’échanges sur la toile, principalement sur Facebook donne un spectacle désolant pour une société guinéenne qui vient de loin dans les braises de la dictature et qui est en pleine mutation avec l’élection démocratique du Président Alpha CONDÉ à sa tête.
Le courage des gestionnaires de la Transition en l’occurrence celui du Général Sékouba KONATÉ appuyé par la clairvoyance de Tibou KAMARA et la Sagesse de Jean Marie DORÉ, pour rendre le pouvoir civil est à saluer en toile de fond. Une ère de démocratie soufflait enfin au dessus de nos têtes, faisant la fierté de la majorité du Peuple de Guinée. Et l’œuvre de libération de notre pays continue telle une suite logique du cycle de développement humain. La dotation d’une nouvelle Loi Fondamentale à notre République pour nous adapter à nos propres réalités. Une chaîne à briser dont beaucoup d’esclaves refusent de s’affranchir.
Ainsi dans les annales de l’histoire, celui qui disait que l’esclave libéré revenait toujours au galop reprendre ses chaînes qui le liaient à son maître n’a pas totalement menti. Mais l’explication qui sied, est qu’il s’y est longtemps habitué, au point que rester sous domination est pour lui devenu un réflexe.
Nous aurons besoin à nouveau de l’éduquer autrement mais en commençant par faire fondre ses chaînes sur lesquelles il ne pourra plus poser ses yeux. Alors voici que commencera une nouvelle vie pour lui. Une vie sans chaînes.
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Nous réclamons notre liberté, journalistes interpellés, journalistes emprisonnés, magistrats zéro, justice corrompue, vive la loi L002 pour que vive la presse en Guiné… Ce sont là entre-autres slogans scandés par des manifestants.
Add a commentDéclaration :
COMMUNIQUE CONJOINT DES ORGANISATIONS PROFESSIONNELLE DES MEDIAS EN GUINEE
Les membres des organisations professionnelles de presse URTELGUI, AGUIPEL, APAC, REMIGUI, UPLG, AGEPI, UFSIG, SPPG, AJPRG et l’UPF-Guinée se sont retrouvés ce jeudi 22 août 2019 en réunion d’urgence.
Les débats ont porté sur la violation manifeste de la Loi 002 portant liberté de la presse en Guinée marquée par le placement sous contrôle judiciaire de M. Diallo Souleymane, Fondateur du Groupe de presse Le Lynx-La Lance-Lynx FM et Boubacar Alghassimou Diallo dit Abou Bakr, Directeur Général de la Radio Lynx FM.
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