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En présence du chef de file de l’opposition, Celliou Dalein Diallo, le Rassemblement Pour la République (RPR) a célébré son 4ème anniversaire ce dimanche, 28 juillet 2019.
Dans son discours, l’opposant a rappelé que le RPR a été créé par un groupe des jeunes en 2015 suite à leur déception par le régime en place qui n’avoir pas tenu ses promesses de développement à l’égard du peuple de Guinée.
«Ceux qui nous gouvernent aujourd’hui adhèrent à une fausse philosophie qui prétend offrir la liberté, la sécurité, le progrès et de grandes opportunités à la Guinée. Trompés
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Le chargé de la communication de l’union des forces républicaines (UFR) Ahmed Tidiane Sylla a fait des révélations sur ce qui est en train d’être fait pour selon lui affaiblir son parti, et pour le troisième mandat, il l’a annoncé à l’occasion de l’assemblée général de ce samedi, 27 Juillet 2019 au siège du parti.
« Qu’aujourd’hui, nous sommes le parti qui est plus vu et qui est à combattre, nous sommes le parti aujourd’hui qui empêche le troisième mandat, il y a 11 milliards qui sont débloqués pour vous corrompre, pour vous manipulez.» A t- il entamé
Soyez prêt poursuit-il, 11 milliards c’est ne rien devant, avoir le pouvoir en 2020 et changé toute la Guinée, en ayant des écoles, des Routes, un niveau de vie décent, ça c’est plus qu’onze milliards.
Add a commentLe renard a pour métier la tromperie, les chiens défendent celui qui les nourrit, aboient et mordent quelques fois ceux qui s’en prennent ou viennent à leur maître ; les vipères inoculent leur venin à leurs sujets et les tuent sur-le-champ ; les chevaux servent à des usages variés et finissent abandonnés quand ils ne servent plus à grand-chose et sont remplacés par d’autres étalons qui seront plus tard remplacés par d’autres , de meilleurs ; les punaises sont toujours incommodes et insupportables qu’on finit par les tuer à coups d’insecticides ; les perroquets parlent à des sujets divers qu’ils n’entendent jamais ; les oiseaux de proie vivent de rapines ; les papillons cherchent le feu où ils finissent dans les braises ; les abeilles suivent la reine et produisent le miel qui fait du bien à l’homme ; les mouches fréquentent les lieux sales , se posent sur les déchets et engendrent des maladies ; les frelons s’établissent au dépend des abeilles ; les canards attirent leurs semblables dans les rets des prédateurs ; les vautours vivent de corps morts et de pourriture. Ah ! Certains animaux, en nombre plus grand, servent de nourriture à d’autres. Combien y a-t-il d’hommes qui ont des rapports aux animaux !
Certains hommes sont des caméléons, ils prennent toutes les couleurs ; d’autres sont des reptiles qui se tortillent en mille façons. Ils font des gambades, arrivent où le soleil lut, profitent de la dépouille de ceux que l’orage a culbutés. Quand ils sont bien, ils veulent encore plus. Ils sont malades et souffrent de cette vulgaire maladie : l’avidité. Ils veulent plus, mieux, ce qu’ils ne sauraient trouver dans leurs certitudes, opinions actuelles ; ainsi, ils se meuvent, ils bougent, ils culbutent afin de posséder plus et encore.
S’ils ont été ministres une fois, ils veulent encore venir à la soupe. Oui, être un ministre, ça paie. S’ils ont fait deux mandats légaux, ils veulent un troisième illégal et illégitime ; ils le veulent qu’ils soient prompts à l’exercer ou non, ils le veulent pour eux car sont malades : ils ne se contentent pas, ils sont incapables de réfréner leur appétit du pouvoir.
Ce sont elles les girouettes politiques ; elles changent de verbe ; ce qui était vrai hier ne l’est plus aujourd’hui pour elles, ce qu’elles ont défendu aux autres ne doit pas leur être opposé, elles sont différentes. Voilà les déraisonnables ! Elles se disent : « le peuple décidera, lui seul dira ». Elles ne se laissent pas emporter par les soubresauts de l’opinion mais manipulent l’opinion en lui imposant un lexique, le leur et des intentions. Elles ont des valets qui parlent en leur nom, font campagne pour elles ; l’une
Add a commentLire la suite : Tribune-La girouette politique (Par Ibrahima SANOH)
C’est dans le cadre d’une tournée de sensibilisation et de mobilisation des femmes pour la défense de la constitution, qu’une délégation des femmes du Front National pour la Défense de la Constitution (FNDC) avec à sa tête, Bah Hadja Maimouna, présidente des femmes du FNDC et vice-présidente des femmes de l’UFDG, a été reçue ce mercredi 23 juillet au siège du Parti de l’Espoir pour le Développement National (PEDN).
«Au nom des femmes du PEDN, nous sommes à votre disposition pour mener cette lutte qui concerne toutes les femmes, toutes audiences confondues. Les femmes du PEDN seront toujours à vos côtés pour qu’ensemble nous réussissions notre combat », rassure la présidente des femmes de PEDN.
Add a commentLire la suite : Affaire 3ème Mandat : Une délégation des femmes du FNDC reçue au siège de PEDN
Le renard a pour métier la tromperie, les chiens défendent celui qui les nourrit, aboient et mordent quelques fois ceux qui s’en prennent ou viennent à leur maître ; les vipères inoculent leur venin à leurs sujets et les tuent sur-le-champ ; les chevaux servent à des usages variés et finissent abandonnés quand ils ne servent plus à grand-chose et sont remplacés par d’autres étalons qui seront plus tard remplacés par d’autres , de meilleurs ; les punaises sont toujours incommodes et insupportables qu’on finit par les tuer à coups d’insecticides ; les perroquets parlent à des sujets divers qu’ils n’entendent jamais ; les oiseaux de proie vivent de rapines ; les papillons cherchent le feu où ils finissent dans les braises ; les abeilles suivent la reine et produisent le miel qui fait du bien à l’homme ; les mouches fréquentent les lieux sales , se posent sur les déchets et engendrent des maladies ; les frelons s’établissent au dépend des abeilles ; les canards attirent leurs semblables dans les rets des prédateurs ; les vautours vivent de corps morts et de pourriture. Ah ! Certains animaux, en nombre plus grand, servent de nourriture à d’autres. Combien y a-t-il d’hommes qui ont des rapports aux animaux !
Certains hommes sont des caméléons, ils prennent toutes les couleurs ; d’autres sont des reptiles qui se tortillent en mille façons. Ils font des gambades, arrivent où le soleil lut, profitent de la dépouille de ceux que l’orage a culbutés. Quand ils sont bien, ils veulent encore plus. Ils sont malades et souffrent de cette vulgaire maladie : l’avidité. Ils veulent plus, mieux, ce qu’ils ne sauraient trouver dans leurs certitudes, opinions actuelles ; ainsi, ils se meuvent, ils bougent, ils culbutent afin de posséder plus et encore.
S’ils ont été ministres une fois, ils veulent encore venir à la soupe. Oui, être un ministre, ça paie. S’ils ont fait deux mandats légaux, ils veulent un troisième illégal et illégitime ; ils le veulent qu’ils soient prompts à l’exercer ou non, ils le veulent pour eux car sont malades : ils ne se contentent pas, ils sont incapables de réfréner leur appétit du pouvoir.
Ce sont elles les girouettes politiques ; elles changent de verbe ; ce qui était vrai hier ne l’est plus aujourd’hui pour elles, ce qu’elles ont défendu aux autres ne doit pas leur être opposé, elles sont différentes. Voilà les déraisonnables ! Elles se disent : « le peuple décidera, lui seul dira ». Elles ne se laissent pas emporter par les soubresauts de l’opinion mais manipulent l’opinion en lui imposant un lexique, le leur et des intentions. Elles ont des valets qui parlent en leur nom, font campagne pour elles ; l’une
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