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Technologie

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Mark Zuckerberg, le PDG de Facebook, a répondu aux critiques quant au rôle du réseau social pendant la présidentielle américaine, assurant qu'il n'avait pas contribué à l'élection de Donald Trump. En interne, le malaise existerait aussi.

"Je voudrais partager avec vous quelques réflexions quant au rôle de Facebook pendant l'élection." C'est par ces mots que Mark Zuckerberg, PDG du réseau social, a entamé un long message, dimanche 13 novembre, pour répondre aux critiques qui l'accusent d'avoir fait le jeu de Donald Trump en laissant pulluler sur son site des faux articles à la gloire du nouveau président.

Le chef d'entreprise américain assure que "99 % de tous les contenus publiés sur le site sont authentiques". Une manière de suggérer qu'une toute petite minorité d'articles montés de toutes pièces peut difficilement être tenue pour responsable de l'issue du scrutin présidentiel américain.

Réduire le nombre de fausses informations

Une enquête de Buzzfeed, relayée puis complétée par d'autres médias américains, a suggéré qu'une prolifération de fausses nouvelles - créées pour la plupart par des étudiants macédoniens - a eu un écho démesuré sur Facebook. Les détracteurs du réseau social ajoutent que les responsables de la plateformen'ont pas pris la mesure du problème, laissant ainsi les partisans de Donald Trump diffuser sans entrave des informations erronées qui ont joué en défaveur d'Hillary Clinton.

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PSA s'apprête à tester des voitures électriques embarquant un générateur de recharge d'un type original, ont indiqué à Reuters des sources du secteur, le constructeur automobile français recherchant une solution grand public pour tenter de rattraper ses concurrents Toyota ou Renault-Nissan.

Selon les défenseurs de la technologie dite du "range extender" - ou prolongateur d'autonomie - pour laquelle la Chevrolet Volt de General Motors fut pionnière en 2011, les ventes de ce dispositif sont appelées à croître car les générateurs essence perdront en poids et gagneront en rendement.

Ainsi équipées, les voitures électriques pourraient embarquer des batteries de plus petite taille, alors que leur poids et leur prix restent aujourd'hui des freins importants au développement de ce type de véhicule.

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Encore abstraites, les technologies du Big data et de l'intelligence artificielle pourraient-elles aboutir à la disparition du hasard au profit d'un monde où tout puisse être anticipé ? C'est l'interrogation de René Trégouët, dans cette nouvelle chronique.

Certaines ruptures technologiques sont particulièrement visibles et frappent les esprits : c’est par exemple le cas pour les tablettes numériques, les voitures électriques ou encore de l’éclairage par LED. Mais certaines révolutions techniques se déroulent sous nos yeux sans que nous en soyons vraiment conscients : tel est le cas des « Données massives » (Big Data). En seulement cinq ans, les données massives et leur traitement intelligent ont déjà profondément bouleversé l’ensemble des secteurs d’activité économique et scientifique… et ce n’est qu’un début !

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