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Politique

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Le président de la transition en Guinée, le Colonel Mamadi Doumbouya, a annoncé aujourd'hui à midi que le pont de Kagbelen porterait désormais le nom de Paul Kagamé, le président du Rwanda actuellement en visite en Guinée. La déclaration a été faite devant une foule considérable, en présence du président Kagamé, qui ne reste que 24 heures dans le pays.

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En diplomatie, les échanges entre pays sont souvent l'occasion de renforcer les liens d'amitié et de coopération. C'est dans cette optique que le Président Rwandais Paul Kagamé a entamé hier une visite d'Etat de 48 heures à Conakry, en Guinée.

Après avoir effectué une escale au Bénin et en Guinée-Bissau, le Président Rwandais, Paul Kagamé, a finalement foulé le sol guinéen hier, lundi 17 avril, pour une visite d'Etat de 48 heures à Conakry.

Accueilli par le Colonel Mamadi Doumbouya, Président de la transition, et les membres du gouvernement, Paul Kagamé a décalé son arrivée de 24 heures pour répondre à ses obligations diplomatiques antérieures.

L'objectif de cette visite d'Etat, selon la présidence guinéenne, est de renforcer les liens

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Le président du parti MoDeL, Aliou Bah, s'est exprimé sur les sujets politiques actuels de la Guinée lors d'une interview à FIM Fm ce vendredi 14 février 2023. Parmi les sujets abordés, il a évoqué les pourparlers entre les forces vives et le gouvernement, sous l'égide des leaders religieux, ainsi que l'implication de la communauté internationale dans la résolution de la crise guinéenne

Aliou Bah a souligné l'engagement du MoDeL dans le processus de résolution de la crise, à travers ses représentants au sein du Front National pour la Défense de la Constitution (FNDC) politique. Il a également noté que les lignes pourraient bouger dans les prochains jours, en particulier grâce à l'engagement du Premier ministre, qui a reçu un mandat de l'autorité qui l'a nommé.

Le président du MoDeL a cependant exprimé son inquiétude quant au retard pris dans le dialogue, alors que la transition en est déjà à sa deuxième année. « Les autorités de la transition ont tout intérêt à faire avancer les choses, pour le bien de tous les Guinéens », a- souligné le Président du Mouvement Démocratique Libéral "MoDeL". 

Interrogé sur le niveau d'implication de la communauté internationale dans la résolution de la crise en Guinée, Aliou Bah a déclaré que : « Les différents pays et institutions internationales font ce qu'ils peuvent. Il ne faut pas s'attendre à ce qu'ils fassent le travail à la place des Guinéens ». Selon lui, il est important de saluer les efforts déployés par la communauté internationale et de les inviter à accompagner les choix des Guinéens dans l'intérêt du pays.

En somme, Aliou Bah estime que « la résolution de la crise en Guinée est avant tout une responsabilité nationale, mais que l'appui de la communauté internationale est également important pour faire avancer les choses dans la bonne direction », a conclu le Président du Mouvement Démocratique Libéral "MoDeL". 

Amadou Diallo 

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 Je ne le répéterai jamais assez : le tribalisme et l’intégrisme religieux ne sont pas des causes structurelles, ce sont les conséquences de la mal-gouvernance. Deux exemples édifiants pour ce qui est du tribalisme, tout au moins : la Côte d’Ivoire et la Somalie ! La Côte d’Ivoire, sous le règne d’Houphouët-Boigny a abrité toutes les ethnies d’Afrique de l’Ouest. Elle n’a connu aucune guerre ethnique. Au contraire, elle a produit la meilleure économie de la région ! La Somalie où, pourtant les citoyens sont d’ethnie somalie à 100%, parlent la même langue somalie à 100% et pratiquent la même religion musulmane à 100% a éclaté en cinq fractions qui tentent désespérément de se rabibocher, du fait de l’extrême inintelligence de ses dirigeants.

Quand le président est bon, tout est bon. Quand il est mauvais, la mère et l’enfant ne se parlent plus, les jumeaux s’étripent, et le miel prend un goût de ricin. Derrière toute crise ethnique, raciale ou religieuse, se cache une manipulation politique. C’est encore plus vrai en Guinée où les dirigeants ne se contentent pas d’être mauvais mais horribles mais puants mais catastrophiques !

Le très bas niveau du débat politique et intellectuel qui sévit dans notre pays fait croire que la Guinée est au bord de l’explosion, que d’un moment à l’autre, nos tribus vont se jeter les unes sur les autres. Il n’en est rien. Car notre histoire est riche et notre société, aussi intelligente que nos dirigeants sont cons. En vérité, le tribalisme n’est pas un problème chez nous, c’est le plus grand de nos faux-problèmes. Jamais de toute son histoire, notre société n’a fonctionné sur une base tribale. Les

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Trois villages de Kaba Kandara, à savoir Madina, Aliamounou et Karfamoriah, ont fait savoir qu'ils se rangeraient du côté du veuf de feu Hadja Djèné Kaba, Alpha Condé, dans le cadre des funérailles de leur fille décédée.

Un communiqué reçu par Ramatoulaye.com a en effet confirmé que les villages en question respecteraient les coutumes et les préceptes religieux en matière de funérailles, tout en témoignant leur solidarité envers Baro, le village du mari de la défunte.

Un message reçu par Ramatoulaye.com indique que les villages ont décidé de suivre les prescriptions religieuses et coutumières concernant les funérailles de leur fille décédée, exprimant leur solidarité envers Baro, le village du mari de leur fille, et la décision qu'il prendra devant Dieu. Les habitants de Conakry ont également reçu des instructions pour appuyer la décision des sages du village de Baro.

Les villageois ont ainsi donné des consignes aux habitants de Conakry pour soutenir la décision prise par les sages de Baro.

 Cette décision risque de créer des obstacles pour la délégation des enfants de l'ex-première dame, qui sont déterminés à

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