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Des heurts ont mis aux prises de jeunes Guinéens et les forces de sécurité jeudi dans la banlieue de Conakry, faisant une vingtaine de blessés, a indiqué le collectif interdit qui a appelé à manifester contre la junte au pouvoir. Le Front national pour la défense de la Constitution (FNDC) qui a appelé à la mobilisation a dit dans un communiqué déplorer "une vingtaine de personnes blessées dont certaines par des tirs à balles réelles, (et) de nombreuses arrestations". Aucune confirmation de ces informations n'a été obtenue d'autre source.

L'opposant guinéen Cellou Baldé placé sous contrôle judiciaire

Le FNDC, officiellement dissous par la junte, avait appelé à manifester pacifiquement jeudi à Conakry, puis le 26 octobre dans tout le pays, pour réclamer un retour rapide des civils à la tête du pays, ainsi que la libération des prisonniers détenus selon lui pour des raisons politiques. Le FNDC est la dernière organisation à mobiliser, mais a reçu le soutien des principaux partis, réduits à l'inaction.

La banlieue de Conakry et la route Le Prince qui la traverse sont traditionnellement le théâtre de la contestation. Les médias locaux y ont rapporté des confrontations dans différents quartiers pendant la journée. Des dizaines de pick-up de police et de gendarmerie ont été stationnés le long de cet axe. Des jeunes ont cependant brûlé des pneus et renversé des poubelles sur la route, désertée de tout

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Ce début de semaine un individu méconnu dans les réseaux sociaux dénommé ‘’LE Samouraï Théa’’ a publié une vidéo dans laquelle il fustige le fait d’interpréter l’hymne de la République de Guinée en Pular, c’était dans une école en moyenne Guinée où on enseigne l’Alphabet ‘’ADLAM’’. Pourtant, une des principales langues guinéennes. Face à cette situation qui a suscité un tollé dans les réseaux sociaux, la coalition pour la promotion des langues maternelles (CoLaM) qui a pour but de ‘’Soutenir la valorisation des langues guinéennes et africaines à l’image de l’UNESCO’’ décide de faire une déclaration pour attirer l'attention de l'Etat guinéen de veiller sur de tels agissements qui mettent en péril les valeurs de la République. Lisez.  

Déclaration N°003 de la Coalition pour la Promotion des Langues Maternelles (CoLaM) :

C'est avec une très grande désolation que nous avons visionné une vidéo datant du 10 octobre 2022 d'un certain sieur dénommé sur Facebook Le Samouraï Théa.

Dans cette vidéo, le sieur Théa fustige le fait d'interpréter l'hymne de la République de Guinée en Pular, l'une des principales langues guinéennes.

Dans son interpellation insensée et sans fondement, le sieur Théa, pour soutenir son agitation dit ceci : « On n'est pas contre une communauté, mais on n'est contre la pratique communautariste ».

L'on se demande bien en quoi interpréter l'hymne national dans une langue du pays est-il une pratique communautariste ? D'autant plus que nous sommes dans un pays où il y'a une diversité linguistique, Et cette diversité est un facteur de beauté de notre pays.

Avec son statut de professeur d'université (semble-t-il), de surcroît, professeur de Droit, comment peut-il s'agiter contre un acte qui n'est pas interdit par les lois de la République.

A cet effet, on se pose la question de savoir quels droits ce sieur enseigne ? Il enseigne les droits de quelle République ? Son agitation n'honore pas le corps professoral et va à l'encontre des valeurs de la République.

Avec son âge et son niveau d'étude, il est pitoyable de constater qu'il semble évident que le sieur Théa ne connaît pas véritablement l'histoire de l'hymne national de la République de Guinée. Nous nous faisons alors le devoir de la lui enseigner :

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