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Politique

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Le coordinateur de la cellule de communication de l’union des forces démocratiques de Guinée l’UFDG Ousmane Gaoual, s’est exprimé ce matin chez nos confrères de lynx Fm sur une loi votée à l’Assemblée nationale par rapport à l’usage des armes non conventionnelles par la gendarmerie et la police pendant les manifestations pacifiques, le député a donné les raisons pour lesquelles son parti n’a pas voté cette loi.  

« A L’UFDG, on s’est abstenu de la voté. Il faut dire que la loi, dans la construction n’est pas le problème, elle a un usage clairement indiqué par la loi. Trois articles qui parlent de l’usage des armes par la gendarmerie dans les circonstances spécifiques : Lorsque la vie et l’intégrité physique des gendarmes sont menacés, lorsque la défense des lieux et des personnes dans le cadre des attaques terroristes … nécessite ; lorsqu’un fugitif qui quitte armé, qui avec prise d’otage est nécessaire ; lorsque quelqu’un est en fuite, disons un terroriste abord d’un véhicule et qui risque de menacer la vie des citoyens, des passants etc. ou lorsqu’il y a commission d’un meurtre, une prise d’otage avec assassinat ; voilà les cas dans lesquelles la loi précise l’usage des armes.» A t- il souligné

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Guinée, Conakry. Le procès des militants Oumar Bella Baldé et Ousmane Akan Sacko, tous arrêtés le 16 juin 2019 après avoir pris part à une cérémonie au siège de la Maison des Associations et ONG de Guinée et poursuivis pour « attroupement illégal » susceptible de créer de trouble à l’ordre public, s’est ouvert ce lundi, 1er juillet 2019.

 L’affaire a été encore renvoyée jusqu’au 08 juillet 2019 aux termes des débats. Cette première audience a permis d’épuiser quelques étapes du procès, le dossier est donc renvoyé en huitaine pour la réquisition du procureur et les plaidoiries des avocats de la défense.

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Malgré les tentatives de justification de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), l’UFR de Sidya Touré maintient ses accusations d’une collusion entre le président de l’institution électorale et le pouvoir par rapport au recrutement d’un opérateur devant s’occuper du fichier électoral.   A l’assemblée générale du parti de Sidya Touré ce samedi, 29 juin 2019 le chargé de communication, Ahmed Tidiane Sylla est resté affirmatif sur ces accusations qu’il a tenté de détailler pour les militants.

 A en croire Ahmed Tidiane Sylla, le président Alpha Condé n’a aucune chance d’organiser des élections en Guinée et les remporter, sans passer par la fraude.  Après l’audit du fichier électoral par les experts internationaux, rappelle-t-il, il a été démontré qu’il y a un million cinq cent et quelques électeurs fictifs dans le fichier, qui n’ont pas d’emprunts.

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