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La proposition de la loi sur la parité homme et femme pour l’accès aux mandats électoraux et aux fonctions électives dans les institutions publiques, enregistrée depuis le 09 Avril 2019 et portée par un collectif de députés est instituée le jeudi, à l’hémicycle.
« Lutter pour l’égalité c’est faire reculer la pauvreté, c’est abattre les discriminations et les violences, c’est œuvrer pour un développement économique, social et humain durable et équitable, facteur de progrès, de paix et de démocratie » fin de citation. A entamé le 2ème vice président de la commission. Amadou Diallo
La parité dans notre contexte ; dit-il, signifie que chaque sexe est représenté à égalité dans les institutions publiques totalement ou partiellement électives
Add a commentMamadou Dian Baldé, journaliste et éditorialiste trouve que notre pays déjà trop mal en point, a plus besoin d’un grand soir que d’un ‘’grand timonier’’. Quant à toute cette agitation autour de ce fameux projet de refonte constitutionnelle, elle constitue selon lui une véritable aubaine pour Sydia Touré de l’Union des forces républicaines pour se « refaire les cerises. »
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1. La Longue marche de la manipulation de l’opinion
Toute la vie politique, sociale et même économique de la Guinée est plus que jamais accaparée par les débats sur un éventuel troisième mandat pour l’actuel président qui, en vertu des dispositions des articles 27 et 154 de la Constitution sur laquelle il a prêté serment, ne peut plus se présenter. Mais à la réflexion, on se rend compte que ce débat a été ouvert de façon imperceptible mais méthodique, depuis la prestation de serment du 14 décembre 2015, après le discours cinglant et plein de signification du Président de la Cour Constitutionnelle d’alors, M. Kelefa SALL. Ce juge, sur lequel pèsent de graves soupçons de complicité avec le RPG dans les fraudes massives aux élections de 2010, est tombé en disgrâce et déchu de son poste de façon cavalière le 18 septembre 2018 (en violation flagrante de l’article 102 de la Constitution).
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