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Politique

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Réaction des leaders du FNDC au discours du président: «il n’y aura aucune consultation…» (Déclaration)

Déclaration N°21/FNDC/2019

Le Peuple de Guinée a suivi hier, 04 septembre 2019, l’adresse à la nation du Président de la République relative à la grave crise socio-économique et politique qui agite notre pays.

Cette allocution n’a malheureusement pas tenu ses promesses au regard de l’immense aspiration de nos populations à la paix, à la sécurité, et à la stabilité en Guinée et dans la sous-région. L’occasion qui aurait permis au président de rassurer et d’honorer notre Peuple, en réaffirmant son attachement aux principes fondamentaux

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Guinéennes, Guinéens,

Mes chers compatriotes,

Depuis mon élection à la Magistrature suprême, j’ai eu comme seule et unique préoccupation l’intérêt de la Guinée et des Guinéens. Cet engagement envers notre cher pays, comme chacun le sait, est partie intégrante de mon histoire personnelle. Tout au long de ma vie, que ce soit durant mes longues années d’opposition où dans mes combats politiques, de même que dans mes fonctions de Président de la République, j’ai toujours mis au centre de mes préoccupations, l’intérêt de la Guinée. J’ai toujours lutté pour une Guinée indépendante, juste et solidaire où chaque citoyen peut s’épanouir dans un environnement de paix, de sécurité et de respect de ses droits fondamentaux et où les droits de chacun vont avec ses devoirs vis-à-vis de la société.

Guinéennes, Guinéens,

Mes chers compatriotes,

J’ai partagé avec vous les premières années difficiles de mon mandat. Tout n’a pas été parfait. Mais soyez rassurés que chaque décision que j’ai dû prendre l’a été dans l’intérêt de la Guinée et des Guinéens.

Nous le savons tous, notre pays vient de loin avec un héritage lourd. Nous n’avions plus de crédibilité auprès des institutions financières internationales. Mais, grâce à nos efforts communs, à la détermination et à la patience de notre peuple, nous avons relevé beaucoup de défis, notamment : la stabilité économique, la réforme de nos forces de défense et de sécurité, de la justice, la lutte contre Ebola et l’amélioration de notre système de santé, le développement des secteurs des mines, de l’énergie, de l’agriculture, de l’industrie et une série de réformes structurelles et institutionnelles.

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Le chef de l’Etat a lancé le Guichet unique du commerce extérieur (GUCEG), le mardi 03 septembre 2019 à l’hôtel Kaloum. Dans son discours de circonstance, Alpha Condé a égrené l’objectif de ce guichet qui selon lui est le portail interactif des opérations commerciales et portuaires en République de Guinée.

Le projet de doter la Guinée le Guichet unique du commerce extérieur (GUCEG), fait partie des ambitions du président Alpha dans le cadre de la modernisation de l’Administration.

« Il est l’interface des acteurs du commerce pour l’accomplissement des formalités relatives au

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La crise qui secoue l’opposition guinéenne dans le cadre de la mise en place des démembrements de la CENI est loin de connaitre son épilogue. Intervenant dans l’émission des ‘’Grandes gueules’’ chez nos confrères de la radio Espace FM, le président du Bloc Libéral (BL) ne mâche pas ses mots pour dénoncer selon lui, la marginalisation de son parti dans l’installation des démembrements de l’institution en charge des élections en Guinée.

« Nous sommes actuellement à  couteaux tirés avec des partis  politiques de l’opposition sur une question que tout le monde connait. Ce que nous sommes en train de vivre nous amène à nous poser des questions, même si notre positionnement politique ne change pas »,

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Ces derniers temps, le débat sur  la possibilité d’adoption d’une nouvelle constitution  par le Président Condé s’est accentué.  Au début, il était politique. Il est devenu juridique.   Un article de la constitution est souvent évoqué pour justifier que la présente constitution donne une possibilité au Président de la République  d’adopter par référendum une nouvelle constitution. Le pionnier de cette thèse est le Pr. Togba qui, à travers deux articles, a tâché de justifier son opinion.

Il n’a pas  donné, c’est notre opinion, le sens vrai de  l’article 51 de la constitution du 7 mai 2010, qui est l’équivalent de l’article 45 de la constitution de 1990.  Il n’est donc pas nouveau. Le juriste ne conclut pas avant de démontrer. Il étale les faits, avance des preuves, évoque des références, s’appuie sur l’herméneutique, commente, raisonne et arrive, arrive, à la conclusion. Le professeur a  commenté l’article en citant diverses références, il ne l’a pas expliqué dans sa lettre et dans l’esprit du corpus dans lequel il se trouve. Les exemples qu’il a évoqués sont dévoyés. C’est ce que nous essayerons de prouver. Il part d’un terme équivoque qu’il déplie  afin d’arriver à une fin autre que celle inscrite dans l’article qu’il a commenté.

  Erreur 1 : Utiliser  l’usage de l’article 11 de la constitution  française par de Gaulle pour le référendum du 9 octobre  1962 et justifier sa transposition au cas guinéen pour des fins d’adoption d’une nouvelle constitution.

Le 05 octobre 1962, le Président Charles de Gaulle  décide d’introduire le suffrage universel dans la constitution de 1958  afin de doter les dirigeants français de plus de légitimité. D’emblée, la révision d’une constitution est  permise par les constitutions elles-mêmes, en ce sens qu’elles doivent refléter les aspirations des peuples. Pourtant, les réalités changent, les aspirations aussi, ce qui conduit à ce que les constitutions se mettent au pas. La constitution française de 1958  disposait d’un cadre de révision qui était l’article 89. Charles de Gaule décide de contourner cette disposition instituant le référendum constituant pour utiliser une autre, l’article 11.

Cette préférence de l’article 11  à l’article 89 conduit à un tôlé aussi bien dans la classe politique que chez les intellectuels. L’Assemblée Nationale  s’oppose au général. Pour réussir son dessein, il la démet le 9 octobre 1962 usant ainsi d’un pouvoir qui lui est conféré par la constitution : celui de la destitution de l’Assemblée. 

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