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Ousmane Gaoual Diallo, député de l’Union des forces démocratiques de Guinée (Ufdg) jure que si le parti a perdu à Paris lors de la présidentielle du 11 octobre, c’est la faute à Bah Oury, vice-président exilé d’alors de la principale formation politique de l’opposition.

‘’Nous avons été à trois à Bruxelles. Bah Oury, Cellou Dalein et moi-même. On a fait une tournée de pré-campagne. En ce moment-là, il était partant pour aller aux élections’’, révèle le bouillant député. Qui indique qu’il était le seul opposé à la participation de l’UFDG  aux élections. Et que Bah Oury, lui, avait développe les arguments pour dire qu’un parti politique à l’envergure de l’UFDG ‘’ne pouvait pas ne pas aller aux élections‘’.

Plus loin,  il confie que Bah Oury est allé jusqu’à appeler les militants et sympathisants de l’UFDG à se mobiliser pour le vote du 11 octobre. ‘’Comment il peut prétendre qu’il n’était pas associé ?‘’, s’interroge le parlementaire.

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Christiane Taubira a annoncé, mercredi, sa démission du gouvernement après trois années au poste de ministre de la justice. Retour sur une personnalité politique que la gauche adule autant que la droite déteste.

Ses réparties ironiques teintées de poésie ne résonneront plus le mercredi dans l’hémicycle du Palais Bourbon, lors des questions au gouvernement. Christiane Taubira a remis, mercredi 27 janvier, sa démission à François Hollande, quelques heures seulement avant que le Premier ministre ne présente aux députés la dernière mouture du texte sur la déchéance de nationalité, auquel elle est opposée. "Parfois, résister c'est rester, parfois résister c'est partir. Par fidélité à soi, à nous. Pour le dernier mot à l'éthique et au droit", a tweeté la garde Sceaux en guise de salut.

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