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JT 29 NOVEMBRE 2024 | JA 29 NOVEMBRE TV5MONDE | CLIP DU JOUR! |
La commission d’organisation de la manifestation du 15 décembre se réjouit de la façon dont le peuple a pacifiquement exprimé, une fois de plus, son indifférence et son rejet du baptême du troisième mandat qui lui est imposé par le dictateur Alpha Condé.
Notre objectif de protestation et de boycott populaire de cette journée de deuil national pour la démocratie et les droits de l’homme en Guinée a été atteint.
L’appel du FNDC a également permis à l'opinion nationale et internationale ainsi qu'aux invités du dictateur Alpha Condé de constater l'oppression qu'il exerce sur son peuple pour s’accrocher au pouvoir.
Le gouvernement guinéen étant conscient de l'impopularité du coup d'État constitutionnel s’est employé, durant plusieurs semaines, à arrêter, kidnapper, Intimider et menacer des populations.
Comme si toutes ces exactions ne suffisaient plus, la journée fatidique du 15 décembre a été illégalement décrétée chômée payée sur toute l'étendue du territoire national.
En plus de la police et et de la gendarmerie, depuis 72h, l'armée a été déployée dans la capitale pour empêcher toute protestation des populations martyrisées.
Add a commentDéclaration
Les Associations de presse AGUIPEL, URTELGUI, AGEPI, REMIGUI, UPLG ont été surprises d’apprendre que les journalistes, Youssouf Boundou Sylla de Guineenews ; Ibrahima Sory Traoré de Guinee7 et Moussa Moise Sylla de l’Inquisiteur, ont reçu une « citation à comparaitre devant le tribunal correctionnel » de Kaloum, pour le 15 décembre 2020.
Cette « convocation » fait suite à la requête de Madame Zénab Dramé, ministre de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle qui accuse ces journalistes des faits de « diffamation » sur sa personne.
Les Associations de presse soutiennent les journalistes « convoqués » et condamnent les agissements de Mme Dramé, qui n’a pas attendu les conclusions de l’enquête ouverte par le procureur pour détournement de deniers publics, suite aux révélations de la presse, pour porter plainte contre les journalistes pour « diffamation », comme si, elle était déjà blanchie par la justice.
En tout état de cause, les Associations de presse rappellent que les lanceurs d’alerte et les dénonciateurs de corruption et infractions assimilées doivent bénéficier d’une protection spéciale de l’Etat contre les actes de représailles ou d’intimidation, selon l’article 100 de la
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