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Par Mohamed Saidou Diallo, assistant en communication, UNICEF

Conakry, 08 janvier 2016 - Sœur Francine vit à Guéckédou Centre, elle est membre de la congrégation des petites sœurs de Notre Dame de Guinée et exerce au dispensaire de la congrégation. Son rôle d’agent de santé l’a placée en première ligne de la lutte contre l’épidémie d’Ebola qui est apparue dans la préfecture du jour au lendemain et s’est propagée rapidement à travers le pays.

« Au début de la maladie, tout était confus. Certains parlaient de la fièvre Lassa, d’autres parlaient de choléra, beaucoup de personnes pensaient qu’il s’agissait d’une maladie causée par de l’eau de forage polluée. Pour d’autres encore, c’était une punition divine ou une histoire de démons. Il a été très difficile pour la communauté d’accepter la réalité de la maladie à virus Ebola.

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Du 30 décembre 2015 au 19 janvier 2016, l’UNICEF publie une série de 21 témoignages de personnes guéries d’Ebola et ayant combattu l’épidémie en première ligne, à travers la Guinée, le Libéria et la Sierra Leone.

 

1.    « Après la mort de ma sœur, la plupart des gens refusaient d’accepter qu’elle était décédée d’#Ebola. Beaucoup de gens ne sont pas allés à l’école ici donc c’était difficile pour eux d’accepter l’existence d’Ebola. Comme je suis le seul qui a été à l’école, je devais expliquer la situation à la famille pour qu’ils l’acceptent. Si je n’avais pas pu convaincre ma famille, beaucoup de personnes allaient mourir et ça allait être un désastre. Dès le moment qu’un membre de ma famille a été atteint, j’ai alors su que c’était vrai. Je n’y croyais pas au début, mais quand c’est arrivé à ma famille, parce que je suis instruit, je savais que c’était la réalité. » (Ismael Koulibaly, mobilisateur social, Conakry, Guinée)  

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