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La Chine va accueillir des responsables venus de Moscou et Téhéran, ce vendredi 14 mars, pour parler nucléaire iranien. Le tout dans un contexte de pression maximale américaine imposée à Téhéran par la nouvelle administration Trump. Le nouveau président américain a écrit une lettre au Guide suprême iranien sur cette question lui demandant de parvenir à un accord. Sans accord, Trump laisse planer le doute sur une éventuelle opération militaire en Iran. La Chine et la Russie ont, eux, une autre approche.

Comme Washington, Moscou et Pékin ne veulent pas voir de bombe nucléaire entre les mains de Téhéran. Et les menaces militaires de Donald Trump à l'encontre de l'Iran inquiètent Chinois et Russes, d'où cette rencontre selon le chercheur spécialiste des relations Russo-iranienne Clément Therme : « La République islamique, si elle le décide, pourrait, dans les prochains mois, prendre une décision politique d'acquérir des systèmes d'armes nucléaires. Ce n'est pas le cas aujourd'hui et la Russie et la Chine veulent s'assurer que le calcul des décideurs à Téhéran ne change pas avec l'instauration de la pression maximale par l'administration Trump », explique le chercheur.

Moscou et Pékin misent sur des pressions économiques

Pour convaincre les Iraniens de ne pas développer d'armes nucléaires, Russes et Chinois misent sur des pressions toutes autres que militaires.

« La Chine et la Russie, elles, peuvent, sur le plan économique, apporter des contreparties, notamment la Chine qui achète du pétrole à l'Iran et la Russie peut faire pression sur les questions sécuritaires. La République islamique d'Iran attend la livraison, par exemple, de systèmes anti-missiles. Il y a des coopérations également dans des domaines sensibles comme le nucléaire civil, le domaine spatial, qui sont très importants pour la survie du régime », détaille encore Clément Therme.

Pékin et Moscou sont toujours signataires de l'accord sur l'encadrement du programme nucléaire iranien signé il y a dix ans.

Rfi

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