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Le Groupe Organisé des Hommes d’Affaires (GOHA) a signé son adhésion au FNDC ce jeudi, 10 Octobre 2019 à son siège à Cosa. Le président de ladite organisation, Chérif Abdalah, en a profité pour lancer un appel à tous les opérateurs économiques de l’intérieur et de l’extérieur du pays.
«Vu tout ce qui se passe sur le terrain, vu l’intérêt que les opérateurs économiques membres de notre organisation de Conakry, de l’intérieur du pays et de l’extérieur, nous annonçons officiellement et solennellement l’adhésion du GOHA au sein de FNDC. Nous disons que nous venons prendre notre place, nous sommes à partir d’aujourd’hui membres à part entière du FNDC et donc nous demandons à l’ensemble des opérateurs économiques de comprendre cela et agir conséquemment », a
Add a commentLors de la deuxième revue de performance du portefeuille pays de la BAD au titre de l’année 2019, tenue ce mercredi à Conakry, le responsable du groupe de la BAD a indiqué que les engagements de la BAD s’est accrue pendant ces dernières années.
Selon Léandre Bassolé, de 2015 à 2019, les engagements, ont été multiplié par trois, passant ainsi de 180 millions à 568 millions de dollars US. « Ce montant est principalement consacré au niveau des secteurs de l’énergie et des transports », a-t-il indiqué.
A date, il faut rappeler que le portefeuille actif du groupe de la Banque Africaine de Développement en Guinée comprend vingt (20) opérations avec un total d’engagements de 417,02 millions d’Unité de Compte, réparti comme suit : 340,69 millions d’UC pour le secteur public (8 projets nationaux et 10 projets régionaux) et 76,34 millions d’UC pour le secteur privé (2 projets).
« Je reste confiant que le gouvernement ne ménagera aucun effort pour s’assurer que les différents projets et programmes et les engagements avec le groupe de la BAD, puissent être exécutés dans les délais et surtout dans l’intérêt pour le bien des populations », lance Léandre Bassolé.
A en croire Famoudou Kourouma, directeur national des investissements publics, le taux de décaissement en moyenne aujourd’hui, est autour de 34,8%. « Seulement les projets régionaux qui connaissent des difficultés de décaissement », a-t-il confié.
Sadjo Diallo
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