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Les travaux du comité de suivi du dialogue inter-guinéens ont repris le jeudi, 5 décembre dernier dans la salle des actes du Palais du Peuple. Grands absents à cette rencontre, Bourema Condé et Amadou Damaro Camara. Ce dernier, il faut le rappeler a été récusé par les opposants qui conditionnaient leur retour à la table de négociation par son retrait. Est-ce une première victoire pour Cellou Dalein et Cie ? En tout cas, pour le président du groupe parlementaire de la mouvance présidentielle, son absence ne fâche pas.

Se confiant à nos confrères du site mediaguinee.com, Amadou Damaro Camara, indique qu’il n’a été « ni associé ni informé d’un dialogue ».

« Mais si mon absence peut servir positivement à quelque chose, il y a absolument aucun problème », a fait savoir le député, tout en précisant qu’il n’est pas « fâché pour ça ».

« Je ne tiens pas du tout rigueur à ceux qui ont décidé de ce dialogue, c’est pourquoi on est nombreux. Si certains ne sont pas là, d’autres sont là », a ajouté Amadou Damaro Camara.

Par ailleurs rappelons qu’au sortir de cette nouvelle rencontre des acteurs politiques, le facilitateur, Mohamed Laho Bangoura, conseiller du Premier ministre, retient que cette

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La Haute Cour de Zambie a récemment condamné deux hommes à dix ans et demi de prison pour avoir eu des relations se xu elles «contre l’ordre de la nature». Cette décision a été vivement critiquée par l’ambassadeur américain en Zambie, Daniel Foote, qui s’est dit « horrifié » par la décision « oppressive ».

Comme dans de nombreux pays africains, le code pénal zambien interdit les relations intimes entre personnes du même genre, les considérant comme une infraction contre nature et les classant comme un crime passible d’une peine de prison pouvant aller jusqu’à 14 ans. Le pays s’oppose avec véhémence à la communauté LGBTQI + et peut prendre des mesures contre elle.

En 2006, le ministre des Affaires intérieures Ronnie Shikapwasha a déclaré que la Zambie ne légaliserait jamais le mariage homosexuel, affirmant que c’est un péché qui va à l’encontre du «statut chrétien» du pays. Puis, en février 2010, la Conférence constitutionnelle nationale (CCN) a décidé à l’unanimité d’adopter une clause interdisant expressément le mariage entre personnes de même genre.

C’est dans ce climat que la Haute Cour de Zambie a récemment condamné deux hommes à 15 ans de prison pour avoir eu des relations sε xu elles «contre l’ordre de la nature».

La décision a horrifié l’ambassadeur américain en Zambie, Daniel Foote, qui a publié une déclaration critiquant cette décision. Foote a déclaré: «J’ai été personnellement horrifié de lire hier la condamnation de deux hommes qui avaient une relation consensuelle, ce qui n’a fait de mal à personne… les opinions sans conséquence ou les braconniers / trafiquants peuvent tuer de nombreux éléphants et vendre leurs défenses et encourir un maximum de cinq ans d’emprisonnement en Zambie.  »

Il a ajouté que « des décisions telles que ces condamnations oppressives nuisent à la réputation internationale de la Zambie en démontrant que les droits de l’homme en Zambie ne sont pas une garantie universelle».

Le président zambien Edgar Lungu a réprimandé l’ambassadeur et ses propos, affirmant que ses autorités porteraient plainte auprès de l’administration Trump.

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