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JT 3 JANVIER 2025 | JA 3 JANVIER TV5MONDE | CLIP DU JOUR! |
Abdourahmane Sanoh, coordinateur national du FNDC
Déclaration N°019/FNDC/2019
Le Front National pour la Défense de la Constitution (FNDC) a constaté, un certain nombre d’actions menées par le pouvoir, dans sa logique d’imposer au peuple de Guinée, les affres d’une manipulation constitutionnelle. Il a été ainsi noté, à titre d’illustration :
Le compte-rendu du conseil des ministres du 27 juin 2019 indiquant que le Président de la République prend acte de l’adhésion du Premier Ministre et de la totalité des membres du gouvernement au projet de référendum pour une nouvelle constitution en vue d’un 3ème Mandat ;
La directive du 19 juin 2019 adressée par le Ministre des Affaires Étrangères aux missions diplomatiques guinéennes, pour faire la promotion d’une présidence à vie en Guinée sous le label de ‘’nouvelle constitution’’;
La déclaration du 5 juillet 2019 de certains Députés de la Majorité Présidentielle qui, se déclarant convaincus de la nécessité impérieuse de doter le pays d’une nouvelle constitution, demandent au Président de la République d’engager le processus référendaire y afférant, en vue du 3ème Mandat ;
Ces actions démontrent clairement à ceux qui en doutaient encore, la nature foncièrement manipulatrice de ce ‘’système’’, qui a pris le pouvoir d’Etat en otage en Guinée, au profit des intérêts égoïstes. Plus aucun doute n’est permis quant à la volonté de ces manipulateurs de tenter le passage en force d’une présidence à vie, à travers une hypothétique nouvelle constitution « sur mesure ». Ce qu’on observe aujourd’hui de la part du pouvoir est en effet la mise en œuvre déterminée d’un plan certes brouillon, mais bien réel pour parvenir à ses fins.
Par ailleurs, le FNDC rappelle au peuple de Guinée et à tous les authentiques défenseurs de la démocratie que l’invocation de la souveraineté populaire n’est qu’un
Add a commentLe Brésil a déclaré qu’il accepterait l’aide étrangère pour lutter contre les incendies en Amazonie, mais uniquement s’il pouvait déterminer comment l’argent serait dépensé. Cette décision intervient dans une guerre de paroles de plus en plus acerbe entre le président français Emmanuel Macron et le dirigeant brésilien Jair Bolsonaro à propos de la crise.
Rego Barros, porte-parole de la présidence, a déclaré: « Le gouvernement brésilien, par l’intermédiaire de son président, est disposé à recevoir un soutien financier
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